Les idées reçues sur les fêtes de Noël
- l’année dernière
En ce qui concerne la période de Noël, on entend de nombreuses idées reçues.
On vous dénoue le vrai du faux !
Le sapin artificiel est-il vraiment plus écologique ?
À court terme, son bilan carbone serait 2 à 3 fois plus élevé que celui d’un vrai sapin de Noël.
En effet, un sapin issu d’une forêt émet environ 3,1 kg de CO2 contre 8,1 kg pour les sapins artificiels.
Cela s’explique en partie par le transport puisque les sapins artificiels sont principalement fabriqués en Asie tandis que les sapins sont issus de forêts françaises.
Ces derniers sont également recyclés, limitant leur impact environnemental.
Mais selon le cabinet Ellipsos, si vous conservez votre sapin synthétique pendant plus de 20 ans, alors le sapin en plastique devient plus écologique.
Le Père Noël a-t-il vraiment été inventé par Coca Cola ?
On entend souvent que le Père Noël est une invention marketing datant des années 1930.
Pourtant, la marque aurait simplement renforcé l’image d’une croyance plus ancienne : les origines du Père Noël remontent à Saint Nicolas.
Assiste-t-on à une baisse des prix juste après les fêtes ?
Si cela a longtemps été le cas, cela est désormais moins marqué en raison de l’inflation et des problèmes d’approvisionnement résultant de la crise sanitaire.
Le 25 décembre représente-t-il le pire jour de l’année en terme d’empreinte carbone ?
Selon une étude du Stockholm Environment Institut (SEI), les 24, 25 et 26 décembre représentent 5,5% de l’empreinte carbone annuelle au Royaume-Uni. Durant ces trois jours, une personne émettrait jusqu’à 650 kg de CO2.
Autre chiffre alarmant : les cadeaux non désirés à Noël représentent 4,8 millions
de tonnes de CO2 au Royaume-Uni !
Le sapin de Noël naturel est-il mauvais pour la santé ?
Il peut en effet provoquer certains symptômes : nez qui coule, asthme, éruption cutanée….
Les sapins artificiels ne sont pas pour autant meilleurs pour la santé puisque certains sont constitués de PVC (polychlorure de vinyle).
Il y a donc un risque d’exposition au plomb.
Néanmoins, l’exposition à cette pollution est la même que pour n’importe quel autre objet en plastique.
On vous dénoue le vrai du faux !
Le sapin artificiel est-il vraiment plus écologique ?
À court terme, son bilan carbone serait 2 à 3 fois plus élevé que celui d’un vrai sapin de Noël.
En effet, un sapin issu d’une forêt émet environ 3,1 kg de CO2 contre 8,1 kg pour les sapins artificiels.
Cela s’explique en partie par le transport puisque les sapins artificiels sont principalement fabriqués en Asie tandis que les sapins sont issus de forêts françaises.
Ces derniers sont également recyclés, limitant leur impact environnemental.
Mais selon le cabinet Ellipsos, si vous conservez votre sapin synthétique pendant plus de 20 ans, alors le sapin en plastique devient plus écologique.
Le Père Noël a-t-il vraiment été inventé par Coca Cola ?
On entend souvent que le Père Noël est une invention marketing datant des années 1930.
Pourtant, la marque aurait simplement renforcé l’image d’une croyance plus ancienne : les origines du Père Noël remontent à Saint Nicolas.
Assiste-t-on à une baisse des prix juste après les fêtes ?
Si cela a longtemps été le cas, cela est désormais moins marqué en raison de l’inflation et des problèmes d’approvisionnement résultant de la crise sanitaire.
Le 25 décembre représente-t-il le pire jour de l’année en terme d’empreinte carbone ?
Selon une étude du Stockholm Environment Institut (SEI), les 24, 25 et 26 décembre représentent 5,5% de l’empreinte carbone annuelle au Royaume-Uni. Durant ces trois jours, une personne émettrait jusqu’à 650 kg de CO2.
Autre chiffre alarmant : les cadeaux non désirés à Noël représentent 4,8 millions
de tonnes de CO2 au Royaume-Uni !
Le sapin de Noël naturel est-il mauvais pour la santé ?
Il peut en effet provoquer certains symptômes : nez qui coule, asthme, éruption cutanée….
Les sapins artificiels ne sont pas pour autant meilleurs pour la santé puisque certains sont constitués de PVC (polychlorure de vinyle).
Il y a donc un risque d’exposition au plomb.
Néanmoins, l’exposition à cette pollution est la même que pour n’importe quel autre objet en plastique.