Jérôme Rothen furieux envers le City Group
- 3 months ago
#Révélations #FootballFrançais #PropriétairesÉtrangers #DéveloppementLocal
Les révélations de la saison
La saison a été marquée par la montée en puissance du jeune joueur brésilien Savio (19 ans) au sein de l'équipe de Girona. Cette performance lui a valu d'attirer l'attention du City Group, le propriétaire émirati de plusieurs clubs de renom tels que Troyes, Girona et Manchester City. L'ESTAC, club de Troyes, avait acheté ce milieu de terrain en 2022 pour la somme de 6,5 millions d'euros, mais il semble que Savio soit maintenant sur le point de rejoindre les rangs des Cityzens, sans même avoir évolué dans l'Aube.
La colère d'un ancien joueur de Troyes
Cette situation a suscité la colère et l'indignation de Jérôme Rothen, un ancien joueur emblématique de l'ESTAC. Il dénonce la manière dont le City Group semble traiter le club de Troyes en utilisant son infrastructure et ses joueurs comme un simple tremplin pour les talents prometteurs. Rothen exprime sa frustration envers cette vision utilitariste du football français et appelle les propriétaires émiratis à quitter le pays. Selon lui, le football français n'a pas besoin de leur ingérence et peut se développer par ses propres moyens.
Un joueur de qualité qui aurait pu contribuer à Troyes
Jérôme Rothen souligne également le potentiel de Savio en tant que joueur de qualité qui aurait pu apporter beaucoup à l'équipe de Troyes. Il regrette que le City Group ne permette pas au joueur brésilien de s'épanouir dans le club qui l'a recruté. Pour Rothen, cette situation est révélatrice d'une attitude problématique de la part des propriétaires émiratis, qui privilégient les intérêts financiers et sportifs de leurs autres clubs au détriment de l'ESTAC.
Les conséquences d'un système
Ce cas met en lumière les conséquences néfastes d'un système où les grands groupes de propriété des clubs de football privilégient leurs intérêts économiques et sportifs plutôt que le développement des équipes locales. Les clubs plus modestes comme Troyes se retrouvent ainsi utilisés comme marchepied vers la réussite des plus grandes formations. Cette situation soulève des interrogations sur la pérennité et l'équité dans le football français.
#Révélations #FootballFrançais #PropriétairesÉtrangers #DéveloppementLocal
Les révélations de la saison
La saison a été marquée par la montée en puissance du jeune joueur brésilien Savio (19 ans) au sein de l'équipe de Girona. Cette performance lui a valu d'attirer l'attention du City Group, le propriétaire émirati de plusieurs clubs de renom tels que Troyes, Girona et Manchester City. L'ESTAC, club de Troyes, avait acheté ce milieu de terrain en 2022 pour la somme de 6,5 millions d'euros, mais il semble que Savio soit maintenant sur le point de rejoindre les rangs des Cityzens, sans même avoir évolué dans l'Aube.
La colère d'un ancien joueur de Troyes
Cette situation a suscité la colère et l'indignation de Jérôme Rothen, un ancien joueur emblématique de l'ESTAC. Il dénonce la manière dont le City Group semble traiter le club de Troyes en utilisant son infrastructure et ses joueurs comme un simple tremplin pour les talents prometteurs. Rothen exprime sa frustration envers cette vision utilitariste du football français et appelle les propriétaires émiratis à quitter le pays. Selon lui, le football français n'a pas besoin de leur ingérence et peut se développer par ses propres moyens.
Un joueur de qualité qui aurait pu contribuer à Troyes
Jérôme Rothen souligne également le potentiel de Savio en tant que joueur de qualité qui aurait pu apporter beaucoup à l'équipe de Troyes. Il regrette que le City Group ne permette pas au joueur brésilien de s'épanouir dans le club qui l'a recruté. Pour Rothen, cette situation est révélatrice d'une attitude problématique de la part des propriétaires émiratis, qui privilégient les intérêts financiers et sportifs de leurs autres clubs au détriment de l'ESTAC.
Les conséquences d'un système
Ce cas met en lumière les conséquences néfastes d'un système où les grands groupes de propriété des clubs de football privilégient leurs intérêts économiques et sportifs plutôt que le développement des équipes locales. Les clubs plus modestes comme Troyes se retrouvent ainsi utilisés comme marchepied vers la réussite des plus grandes formations. Cette situation soulève des interrogations sur la pérennité et l'équité dans le football français.
#Révélations #FootballFrançais #PropriétairesÉtrangers #DéveloppementLocal