Affaire Vincent Lambert. L’audience devant la Cour de cassation prévue le 24 juin
- il y a 5 ans
La Cour de cassation devra trancher sur l’arrêt ou non des traitements de Vincent Lambert, le 24 juin prochain. Une audience qui se tiendra un mois après la décision de la cour d’appel de Paris, qui ordonnait la reprise des soins, le 20 mai dernier.
L’audience devant la Cour de cassation dont dépendra l’arrêt des traitements de Vincent Lambert, en état végétatif irréversible depuis dix ans, se tiendra le 24 juin, ont annoncé mardi les avocats des parents.
Le gouvernement a saisi la Cour de cassation après la décision de la cour d’appel de Paris le 20 mai au soir d’ordonner la reprise de l’alimentation et de l’hydratation de Vincent Lambert. Gérard Chemla, l’avocat de François Lambert, le neveu de Vincent favorable à la fin des traitements, espère, une décision de la Cour de cassation « d’ici fin juillet ».
En outre, une audience aura lieu le 26 novembre devant le TGI de Reims après que le CHU de Reims et le docteur Vincent Sanchez ont été assignés sur citation directe justice par les parents de Vincent Lambert pour « non-assistance à personne en péril » après un début d’arrêt des traitements le 20 mai, ont indiqué les avocats à l’issue d’une audience de consignation devant le TGI de Reims.
L’audience devant la Cour de cassation dont dépendra l’arrêt des traitements de Vincent Lambert, en état végétatif irréversible depuis dix ans, se tiendra le 24 juin, ont annoncé mardi les avocats des parents.
Le gouvernement a saisi la Cour de cassation après la décision de la cour d’appel de Paris le 20 mai au soir d’ordonner la reprise de l’alimentation et de l’hydratation de Vincent Lambert. Gérard Chemla, l’avocat de François Lambert, le neveu de Vincent favorable à la fin des traitements, espère, une décision de la Cour de cassation « d’ici fin juillet ».
En outre, une audience aura lieu le 26 novembre devant le TGI de Reims après que le CHU de Reims et le docteur Vincent Sanchez ont été assignés sur citation directe justice par les parents de Vincent Lambert pour « non-assistance à personne en péril » après un début d’arrêt des traitements le 20 mai, ont indiqué les avocats à l’issue d’une audience de consignation devant le TGI de Reims.