Chloé Jouannet : Un film mignon et décadent
- 3 months ago
#Cinéma #Relationpèrefille #Libérationdelaparole #Famille
Chloé Jouannet présente son premier court métrage au Festival de l’Alpe d’Huez
Mercredi 17 janvier, Chloé Jouannet a présenté son premier court métrage, "Allez ma fille", en compétition au Festival international de comédie de l’Alpe d’Huez. Le film, qui aborde avec humour et sensibilité la relation père-fille, a reçu un accueil très positif de la part du public.
Avant la projection, Chloé Jouannet confie avoir ressenti une certaine appréhension. Elle était très nerveuse et anxieuse, au point d'en avoir des bouffées de chaleur. Mais une fois la projection terminée, elle se sent soulagée et heureuse du bon accueil que le film a reçu.
En tant que réalisatrice, Chloé Jouannet assume une grande responsabilité. Si le public n'aime pas son film, c'est elle qui en est responsable à 100%. Cependant, elle se réjouit des retours très positifs qu'elle a reçus, notamment cette remarque qui lui a particulièrement touchée : "Ton film, c’est vraiment toi, mignon et trash !"
L'histoire derrière "Allez ma fille"
Chloé Jouannet avait depuis longtemps l'envie d'écrire et de réaliser un film. Durant le premier confinement, elle est retournée vivre chez son père et a été confrontée à la réalité de la relation père-fille, avec sa sœur Mado, qui avait alors 13 ans. Cette expérience lui a inspiré l'idée de son court métrage. Elle voulait rendre hommage à tous les papas et parler de la séparation sans détruire les liens familiaux.
Le choix du registre familial était une évidence pour Chloé Jouannet, qui aime les histoires ancrées dans l'intime et les relations humaines. Elle s'inspire notamment des comédies sociales britanniques et des films du duo Olivier Nakache-Éric Toledano.
La libération de la parole et le choc des générations
Dans "Allez ma fille", Chloé Jouannet aborde également la question de la libération de la parole, notamment autour de la sexualité. Elle a toujours pu parler librement de ce sujet avec ses parents et estime qu'il est important de favoriser le dialogue, surtout à l'ère des réseaux sociaux qui peuvent être néfastes pour les jeunes. Elle souligne l'importance d'avoir un jardin secret, mais aussi la nécessité de parler et de se confier.
Un tournage en famille
Pour son premier film, Chloé Jouannet a choisi de diriger son père, Thomas Jouannet, et ses demi-sœurs, Ysée et Mado. Le tournage s'est déroulé près de la maison familiale, dans un gymnase où ses sœurs pratiquaient le Twirling bâton.
Chloé Jouannet présente son premier court métrage au Festival de l’Alpe d’Huez
Mercredi 17 janvier, Chloé Jouannet a présenté son premier court métrage, "Allez ma fille", en compétition au Festival international de comédie de l’Alpe d’Huez. Le film, qui aborde avec humour et sensibilité la relation père-fille, a reçu un accueil très positif de la part du public.
Avant la projection, Chloé Jouannet confie avoir ressenti une certaine appréhension. Elle était très nerveuse et anxieuse, au point d'en avoir des bouffées de chaleur. Mais une fois la projection terminée, elle se sent soulagée et heureuse du bon accueil que le film a reçu.
En tant que réalisatrice, Chloé Jouannet assume une grande responsabilité. Si le public n'aime pas son film, c'est elle qui en est responsable à 100%. Cependant, elle se réjouit des retours très positifs qu'elle a reçus, notamment cette remarque qui lui a particulièrement touchée : "Ton film, c’est vraiment toi, mignon et trash !"
L'histoire derrière "Allez ma fille"
Chloé Jouannet avait depuis longtemps l'envie d'écrire et de réaliser un film. Durant le premier confinement, elle est retournée vivre chez son père et a été confrontée à la réalité de la relation père-fille, avec sa sœur Mado, qui avait alors 13 ans. Cette expérience lui a inspiré l'idée de son court métrage. Elle voulait rendre hommage à tous les papas et parler de la séparation sans détruire les liens familiaux.
Le choix du registre familial était une évidence pour Chloé Jouannet, qui aime les histoires ancrées dans l'intime et les relations humaines. Elle s'inspire notamment des comédies sociales britanniques et des films du duo Olivier Nakache-Éric Toledano.
La libération de la parole et le choc des générations
Dans "Allez ma fille", Chloé Jouannet aborde également la question de la libération de la parole, notamment autour de la sexualité. Elle a toujours pu parler librement de ce sujet avec ses parents et estime qu'il est important de favoriser le dialogue, surtout à l'ère des réseaux sociaux qui peuvent être néfastes pour les jeunes. Elle souligne l'importance d'avoir un jardin secret, mais aussi la nécessité de parler et de se confier.
Un tournage en famille
Pour son premier film, Chloé Jouannet a choisi de diriger son père, Thomas Jouannet, et ses demi-sœurs, Ysée et Mado. Le tournage s'est déroulé près de la maison familiale, dans un gymnase où ses sœurs pratiquaient le Twirling bâton.