Un rapport alarmant révèle que la moitié des étudiants souffrent de problèmes de logement !
- 6 months ago
#Mallogement #Étudiants #Précarité #Logement
Le mal-logement, un fléau touchant les étudiants
Selon un nouveau rapport alarmant, le mal-logement affecte de plus en plus les étudiants, qui se retrouvent dans une situation précaire. En cette période marquée par une inflation immobilière, un jeune sur deux est mal logé, d'après l'Union étudiante.
Des conditions de vie précaires pour les étudiants
Le rapport de l'Union étudiante, relayé par RTL, révèle une situation inquiétante. La définition du mal-logement retenue comprend l'absence de domicile personnel, la difficulté d'accès au logement et les mauvaises conditions de logement. En novembre 2023, on estimait à 87 000 le nombre d'étudiants sans logement fixe. Certains d'entre eux se retrouvent contraints de dormir dans leur voiture, au camping ou de louer des chambres d'hôtel ou des Airbnb pour pouvoir se loger temporairement. Plus de 50% des étudiants se voient contraints de dormir chez des amis pendant plusieurs mois, dans l'attente de trouver un logement.
Les plus touchés par le mal-logement
Les étudiants sont les premiers concernés par ce problème de mal-logement, mais on constate également que les femmes, les jeunes étrangers et les boursiers en sont particulièrement victimes. Parmi l'ensemble des jeunes interrogés, six sur dix souffrent du froid dans leur logement précaire. Un sur dix doit faire face à des problèmes de nuisibles, tels que les punaises de lit, les souris ou les cafards. De plus, sept étudiants sur dix doivent supporter des nuisances sonores insupportables.
Un appel à l'action des pouvoirs publics
Cette situation de mal-logement est d'autant plus préoccupante que les jeunes font des concessions sur leur alimentation et leur santé. Deux étudiants sur trois sautent des repas ou renoncent à se soigner. Il est donc urgent d'agir pour remédier à cette précarité, qui ne touche pas seulement les boursiers. L'Union étudiante dénonce l'inaction des pouvoirs publics face à cette situation et appelle à la mise en place de mesures fortes. Parmi celles-ci, la création de 150 000 logements Crous et la mise en place d'un revenu d'autonomie à hauteur de 1 158 euros par mois.
#Mallogement #Étudiants #Précarité #Logement
Le mal-logement, un fléau touchant les étudiants
Selon un nouveau rapport alarmant, le mal-logement affecte de plus en plus les étudiants, qui se retrouvent dans une situation précaire. En cette période marquée par une inflation immobilière, un jeune sur deux est mal logé, d'après l'Union étudiante.
Des conditions de vie précaires pour les étudiants
Le rapport de l'Union étudiante, relayé par RTL, révèle une situation inquiétante. La définition du mal-logement retenue comprend l'absence de domicile personnel, la difficulté d'accès au logement et les mauvaises conditions de logement. En novembre 2023, on estimait à 87 000 le nombre d'étudiants sans logement fixe. Certains d'entre eux se retrouvent contraints de dormir dans leur voiture, au camping ou de louer des chambres d'hôtel ou des Airbnb pour pouvoir se loger temporairement. Plus de 50% des étudiants se voient contraints de dormir chez des amis pendant plusieurs mois, dans l'attente de trouver un logement.
Les plus touchés par le mal-logement
Les étudiants sont les premiers concernés par ce problème de mal-logement, mais on constate également que les femmes, les jeunes étrangers et les boursiers en sont particulièrement victimes. Parmi l'ensemble des jeunes interrogés, six sur dix souffrent du froid dans leur logement précaire. Un sur dix doit faire face à des problèmes de nuisibles, tels que les punaises de lit, les souris ou les cafards. De plus, sept étudiants sur dix doivent supporter des nuisances sonores insupportables.
Un appel à l'action des pouvoirs publics
Cette situation de mal-logement est d'autant plus préoccupante que les jeunes font des concessions sur leur alimentation et leur santé. Deux étudiants sur trois sautent des repas ou renoncent à se soigner. Il est donc urgent d'agir pour remédier à cette précarité, qui ne touche pas seulement les boursiers. L'Union étudiante dénonce l'inaction des pouvoirs publics face à cette situation et appelle à la mise en place de mesures fortes. Parmi celles-ci, la création de 150 000 logements Crous et la mise en place d'un revenu d'autonomie à hauteur de 1 158 euros par mois.
#Mallogement #Étudiants #Précarité #Logement