« Je ne peux pas me taire » : Sylvie Vartan aborde une dernière fois de la guerre...

  • il y a 7 mois
« Je ne peux pas me taire » : Sylvie Vartan aborde une dernière fois de la guerre...
Après le décès de Johnny Hallyday, Sylvie Vartan n’avait pas hésité à s’exprimer afin de protéger les intérêts de son fils David au moment de la succession du célèbre chanteur. Dans les colonnes de Télé Poche, elle est ainsi revenue une ultime fois sur cette période particulièrement mouvementée.C’est à la fin du mois de décembre 1961 qu’Eddie Vartan présente sa jeune soeur Sylvie à Johnny Hallyday lors d’un concert de cette dernière à l’Olympia de Paris. Le coup de foudre est immédiat et la taulier ne tarde pas à lui proposer de faire la première partie de sa tournée l’année suivante. Ils se marient finalement le 12 avril 1965 et accueillent leur seul et unique enfant, David, le 14 août 1966. Ils se séparent en 1980. Le 5 décembre 2017 disparaissait Johnny Hallyday à l’âge de soixante-quatorze ans, plongeant ainsi ses nombreux héritiers dans les tourments d’une succession particulièrement sensible.À l’époque, Sylvie Vartan était donc montée au créneau, fustigeant notamment « une enchère de communiqués » et dénonçant la publication des testaments. Soutenue par Michel Polnareff, elle avait finalement appelé au calme afin de servir au mieux les intérêts de son fils David. Dans les colonnes de Télé Poche ce lundi 24 mai, elle est ainsi revenue sur ses prises de positions : « J’y ai été obligée. Moi, quand je suis scandalisée, je ne peux pas me taire. Je suis assez cash et je ne peux pas laisser faire quand je vois qu’on attaque les miens ou moi directement » commence t-elle par expliquer avant de de concéder que le temps l’a aidé à s’apaiser. « Oui, le temps est un grand maître. J’ai mon tourbillon à moi qui me suffit amplement. Je m’occupe des gens que j’aime, les autres font ce qu’ils veulent tant qu’on entre pas dans mon jardin. La vérité finit par se savoir au bout du compte, on ne peut pas berner le public trop longtemps. » Pas question cependant de s’abandonner à une quelconque forme de mélancolie en écoutant les albums posthumes de l’idole des jeunes : « Ça ne m’intéresse pas. Je me cantonne au Johnny que je connais, que j’ai aimé, célébré sur scène. » La vie continue en somme.

Recommandée