“Mon père, il s’est endetté”  Kad Merad, ses déchirantes confidences sur son enfance
  • il y a 7 mois
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“Mon père, il s’est endetté” : Kad Merad, ses déchirantes confidences sur son enfance
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Ce samedi 16 septembre sur TF1 à 18h35 dans 50 inside la journaliste Isabelle iturbourous se rendait dans un célèbre théâtre parisien le théâtre Marini dans lequel cadmerade va bientôt se produire en effet l'humoriste vit un rêve éveillé puisqu'il va jouer rublas à partir du 27 septembre prochain une pièce classique de Victor Hugo aux antipodes du registre humoristique dans lequel on a l'habitude de le voir l'occasion pour la journaliste de l'interroger sur sa passion le théâtre et l'opportunité pour le comédien d'évoquer le soutien de sa famille malgré une vie somme toute modeste cadmerad ne ne revient toujours pas de tout ce qu'il a eu durant son enfance et son adolescence accumulant les petits boulots il se félicite d'avoir réussi dans un domaine ma maman travaillait dans un magasin de bricolage et quand je lui ai dit je veux une batterie elle m'a dit OK et elle m'a acheté une batterie elle était vendeuse et elle c'este défoncé pour moi pour des gens modestes on vivait très très bien mon père seste déchiré pour moi beaucoup beaucoup j'ai eu une mobylette mais quand je vois le prix d'une mobylette aujourd'hui je me demande comment on fait mes parents on est trois garçons j'ai appris très tard que mon père était endetté à mort il ce endetté endetté endetté pour nous payer des belles vacances point on vivait bien pour des gens modestes on vivait très très bien on était très heureux on avait la télécouleur et tout aujourd'hui cadmerad est heureux car son père était extrêmement fier de lui il se levait tous les matins à 5h pour prendre le petit train de Ris Orangis à Paris et il rentrait à 21h aujourd'hui cadmerade savour son succès mais s'interroge toujours autant je ne sais pas pourquoi tout cela m'arrive à moi article écrit en collaboration avec séia crédit photo capture TF1 i just need some that will wake me up to fight Cuse you let me down it for me to let me just me we were that we had to we it so
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