OK. "Jacques Legros, le manipulateur : le journaliste prêt à tout pour réussir sa carrière !"
  • il y a 9 mois
Un parcours atypique dans le journalisme

Ce mercredi 2 août 2023, Jacques Legros a été invité sur Sud Radio pour une entrevue. Au cours de cet entretien, le joker du 13H de TF1 a partagé avec nos confrères les détails de sa carrière réussie dans le domaine du journalisme. Il affirme même avoir été "prédestiné" à cette profession. Toutefois, rien ne laissait présager que le rival de Jean-Pierre Pernaut se dirigerait un jour vers cette voie. Durant sa jeunesse, il a rencontré des difficultés académiques et n'était pas un élève studieux. Il se qualifie lui-même de véritable cancre et aurait redoublé plus d'une fois. Avec humour, il déclare : "Ce côté pas scolaire, mais plus saltimbanque ou artiste m’a coûté cher dans mes études secondaires puisque j’ai fait trois fois la classe de seconde".

Des mensonges sur son CV pour réussir

En raison de ses résultats scolaires catastrophiques, Jacques Legros affirme qu'il n'aurait jamais pu intégrer une école de journalisme. Il déclare : "Je n’aurais jamais été pris, estime-t-il. J’étais bien trop nul". Malgré cela, il a réussi à faire sa place dans le métier avec brio. Du journalisme écrit à la radio en passant par la télévision, le septuagénaire a acquis une expérience variée. Pour atteindre ses objectifs, il n'a pas hésité à tromper ses employeurs. Il révèle même avoir menti à plusieurs reprises sur son CV, allant jusqu'à inventer un numéro fictif de carte de presse. Selon lui, sans ces tromperies, il n'exercerait "pas ce métier aujourd'hui". Il conclut en soulignant que le monde est ainsi fait, qu'il faut être sur les rails pour emprunter les chemins détournés.

Jacques Legros, entre travail et absence

Depuis plus de vingt ans, Jacques Legros occupe une place importante sur le plateau du JT de 13h de TF1. Ce poste lui permet de se consacrer à d'autres passions, comme l'écriture de romans érotiques. Dans une interview au Parisien, il confie : "Le poste de joker est un tremplin si on a envie que ça le soit. Moi, c’est arrivé assez tard. J’avais 40 ans passé et fait autre chose avant. Vingt ans plus tôt, j’aurais peut-être eu d’autres ambitions. Avec le temps, j’ai compris que le JT, ce n’est pas ma vie".

Malgré sa passion, son travail a souvent été une source d'angoisse pour ses proches, qui lui ont reproché ses absences répétées. Toutefois, Jacques Legros assure avoir été présent pour son fils Gabriel. Il explique : "En revanche, je lui ai offert des moments de présence que les autres ne peuvent pas offrir quotidi
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