Kev Adams se défend des accusations de financement douteux liées à Plush dans une polémique.
- l’année dernière
#Kev Adams
Polémique autour de Plush : Kev Adams s’explique sur les accusations de financement douteux
Une enquête menée par Mediapart a mis en lumière un scandale de financement opaque concernant le film d’animation Plush, dans lequel Kev Adams était impliqué.
Le média numérique a révélé que plus de 700 contributeurs ayant acheté un NFT pour plus de 1000 euros ont perdu une grande partie de leur investissement, estimé à 1,5 million d’euros. Le film a été promu par Kev Adams et était porté par une société à Dubaï dirigée par un homme d’affaires, qui serait fan de cryptomonnaies et de poker.
Bien que l’humoriste ait été annoncé comme l’une des têtes d’affiche vocale du film, aux côtés de personnalités telles que Gérard Darmon, Éric Judor et Audrey Lamy, le film ne verra jamais le jour, la société Illuminart ayant expiré sa licence en février dernier, précise Médiapart.
Mardi 24 avril, Kev Adams a pris la parole sur Twitter pour faire une mise au point. L’humoriste a expliqué qu’il avait participé à ce projet en raison de son caractère « nouveau », « moderne » et « cool ».
Toutefois, il a admis que le projet était trop ambitieux et inadapté au marché des NFT et du cinéma. Kev Adams, qui officie en qualité de juré dans Mask Singer, a également précisé qu’il n’avait pas été rémunéré et qu’il avait accepté de ne l’être que si le film était réalisé.
Il a aussi fait part de ses regrets quant aux personnes ayant perdu leur investissement dans cette sombre affaire.
L’attaché de presse de Kev Adams n’a pas souhaité répondre aux sollicitations du Parisien.
Polémique autour de Plush : Kev Adams s’explique sur les accusations de financement douteux
Une enquête menée par Mediapart a mis en lumière un scandale de financement opaque concernant le film d’animation Plush, dans lequel Kev Adams était impliqué.
Le média numérique a révélé que plus de 700 contributeurs ayant acheté un NFT pour plus de 1000 euros ont perdu une grande partie de leur investissement, estimé à 1,5 million d’euros. Le film a été promu par Kev Adams et était porté par une société à Dubaï dirigée par un homme d’affaires, qui serait fan de cryptomonnaies et de poker.
Bien que l’humoriste ait été annoncé comme l’une des têtes d’affiche vocale du film, aux côtés de personnalités telles que Gérard Darmon, Éric Judor et Audrey Lamy, le film ne verra jamais le jour, la société Illuminart ayant expiré sa licence en février dernier, précise Médiapart.
Mardi 24 avril, Kev Adams a pris la parole sur Twitter pour faire une mise au point. L’humoriste a expliqué qu’il avait participé à ce projet en raison de son caractère « nouveau », « moderne » et « cool ».
Toutefois, il a admis que le projet était trop ambitieux et inadapté au marché des NFT et du cinéma. Kev Adams, qui officie en qualité de juré dans Mask Singer, a également précisé qu’il n’avait pas été rémunéré et qu’il avait accepté de ne l’être que si le film était réalisé.
Il a aussi fait part de ses regrets quant aux personnes ayant perdu leur investissement dans cette sombre affaire.
L’attaché de presse de Kev Adams n’a pas souhaité répondre aux sollicitations du Parisien.