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Le Figaro nous a dit jeudi que la Fédération internationale d'athlétisme venait de prendre une décision en capital, venant d'un sens simple, mais qui nécessitait beaucoup de courage. C'est dans une formule simple les femmes trans ne pourront plus participer à des compétitions sportives féminines. En d'autres termes, les hommes biologiques qui s'identifient maintenant comme des femmes, qu'ils connaissent ou non l'opération majeure de changement de sexe, ne pourront plus rivaliser entre les femmes. De plus précisément, ce seront ceux qui ont connu une "puberté masculine". La biologie Pour une raison simple biologiquement, physiologiquement, un homme n'est pas une femme, et le corps d'un homme n'est pas le corps d'une femme. Le corps n'est pas une enveloppe physique externe à l'identité profonde d'un individu. Un homme peut dire qu'il est une femme, ou une femme se disant un homme, si son corps dit le contraire, ce n'est pas un détail. Fondamentalement, pour les sportifs, la participation des femmes trans biologiquement masculines était profondément injuste. Naturellement, notre société doit ouvrir et tendre la main à ceux qui se sentent étrangers dans leur propre corps. Nous comprenons que l'humanité est complexe et que le respect du Trans est évident. Mais notre société ne peut pas faire «détermination de l'auto-détermination du genre» la règle vie sociale, abolissant les sexes. Que nous devons nous rappeler qu'il est lunaire, mais notre temps a longtemps perdu le ballon. Et d'autres organisations sociales devront désormais appliquer la même règle. Injuste Est-il normal d'intégrer hommes biologiques qui s'identifient comme des femmes dans maisons pour les femmes en danger? Est-il normal de les intégrer dans les prisons des femmes? Est-il normal que nous assimilions l'affirmation à des remarques discriminatoires que seules les femmes portent des enfants? Toujours pas. Il est temps pour la réalité de reprendre ses droits.