Fertilité : les couples français rencontrent de plus en plus de difficultés à procréer
- l’année dernière
Depuis 30 ans, les couples Français parviennent de plus en plus difficilement à concevoir un enfant.
À ce jour, 1 couple sur 4 rencontre des problèmes de fertilité : soit une progression de 0,3% par an chez
les femmes et de 0,4% chez les hommes.
En parallèle, le nombre d’enfants conçus chaque année grâce à la PMA (procréation médicalement assistée) ne cesse d’augmenter depuis 2009 (2,6% en 2009 contre 3,3% en 2018).
Si 20% des cas d’infertilité sont inexpliquées, on peut tout de même expliquer cette tendance.
D’abord, les Françaises décident d’avoir leur première enfant plus tardivement.
En moyenne, elles tentent de concevoir à 29 ans (31 ans dans les grandes villes) alors que les femmes
enfantaient vers 25 ans en 1977.
Mais aux alentours des 30 ans, la fertilité diminue automatiquement chez les femmes.
L’autre explication est d’ordre environnemental : la qualité des spermatozoïdes est affaiblie par la prolifération des perturbateurs endocriniens des cosmétiques, contenants en plastiques, produits d’entretien….
À cela s’ajoutent les Français en surpoids ou en obésité qui sont de plus en plus nombreux en France.
Or c’est bien connu : les problèmes de poids réduisent les chances de procréer.
Enfin, la consommation de drogues dures (qui a quadruplé en 20 ans), le tabagisme et les nouveaux modes de vie occidentaux (stress et écran qui entraîne une dégradation de la qualité et la quantité du sommeil) accentuent ces problèmes.
À ce jour, 1 couple sur 4 rencontre des problèmes de fertilité : soit une progression de 0,3% par an chez
les femmes et de 0,4% chez les hommes.
En parallèle, le nombre d’enfants conçus chaque année grâce à la PMA (procréation médicalement assistée) ne cesse d’augmenter depuis 2009 (2,6% en 2009 contre 3,3% en 2018).
Si 20% des cas d’infertilité sont inexpliquées, on peut tout de même expliquer cette tendance.
D’abord, les Françaises décident d’avoir leur première enfant plus tardivement.
En moyenne, elles tentent de concevoir à 29 ans (31 ans dans les grandes villes) alors que les femmes
enfantaient vers 25 ans en 1977.
Mais aux alentours des 30 ans, la fertilité diminue automatiquement chez les femmes.
L’autre explication est d’ordre environnemental : la qualité des spermatozoïdes est affaiblie par la prolifération des perturbateurs endocriniens des cosmétiques, contenants en plastiques, produits d’entretien….
À cela s’ajoutent les Français en surpoids ou en obésité qui sont de plus en plus nombreux en France.
Or c’est bien connu : les problèmes de poids réduisent les chances de procréer.
Enfin, la consommation de drogues dures (qui a quadruplé en 20 ans), le tabagisme et les nouveaux modes de vie occidentaux (stress et écran qui entraîne une dégradation de la qualité et la quantité du sommeil) accentuent ces problèmes.