Australie internationale: Novak Djokovic n'a pas l'intention de s'arrêter là
- l’année dernière
#InternationauxdAustralie #Novak #Djokoviccompte
https://gotopnews.com/post/1615905
Un djokovic émotionnel a célébré aujourd'hui la "plus grande victoire de sa vie".Après une quinzaine mouvementée, marquée par des douleurs de cuisse ainsi qu'une controverse impliquant son père, et un an après avoir été expulsée d'Australie, voici le champion du Grand Chelem serbe pour la 22e fois. Grâce à cette 10e couronne à l'Australian Open, Djokovic a rejoint son grand rival Rafael Nadal en haut de la liste des titres du Grand Chelem. À 35 ans, "Djoko" reprendra également le premier rang mondial demain, perdu au cours la dernière saison après que son statut de vaccination l'a privé nombreux tournois. Et la chose la plus inquiétante pour ses adversaires est que Djokovic n'a pas «l'intention de s'arrêter là». «Je suis toujours très motivé, a admis le Serbe lors d'une conférence de presse.Voyons où cela me mènera." Quelques heures plus tôt, la cinquième tête série à Melbourne avait une fois de plus démontré son immense domination en battant la troisième tête série, les Grecs Stefanos Tsisipas, 6-3, 7-6 et 7-6 . En larmes avec sa mère Comme il l'a été tout au long de cette quinzaine, Djokovic s'est avéré insoluble contre Tsisipas, 24 ans, qui pourrait également aspirer au numéro un mondial à la fin du match. Pour cela, cependant, il aurait été nécessaire que grec soulève le plus grand trophée la fin de la finale.Et contrairement ce match final a joué il y a deux ans Roland-Garros, dans lequel Tsisipas avait mené deux sets Nil contre Serbe, cette fois, "Djoko" ne l'a jamais laissé rêver. Le champion s'est cassé tôt dans le match et n'a jamais regardé en arrière. Une fois sa victoire consacrée, Djokovic s'est précipité dans les tribunes pour rejoindre sa mère, Dijana, et son entraîneur, Goran Ivanisevic.Il a fondu en larmes et a continué à pleurer en s'asseyant sur son banc, quand il est revenu à domaine. "L'un des plus difficiles" Le poids de deux semaines chargées émotionnellement venait d'être libérée. Parce que même si Djokovic n'a perdu qu'un seul tour sur le titre du titre - au deuxième tour, contre le surprenant Français Enzo Couacaud, 191e au monde - ce tournoi était «l'une des plus difficiles de [sa] vie.". "Je dirais que c'est probablement ma plus grande victoire", a poursuivi l'homme avec 93 titres ATP, dans son discours sur le terrain. "Il est le plus haut à avoir tenu une raquette de tennis", avait précédemment souligné Tsisipas. Cuisse et controverse Au début du tournoi, Djokovic doutait qu'il puisse aller jusqu'au bout. Certes, il est arrivé en Australie à la place du grand favori, celui qui avait déjà été couronné neuf fois sur la Rod Laver Arena et qui venait de remporter le titre à Adélaïde. Mais sa cuisse gauche lui faisait du mal, a-t-il réitéré aujourd'hui.Ce n'est que lors sa victoire au quatrième tour sur l'Australien 22e tête série Alex Min
https://gotopnews.com/post/1615905
Un djokovic émotionnel a célébré aujourd'hui la "plus grande victoire de sa vie".Après une quinzaine mouvementée, marquée par des douleurs de cuisse ainsi qu'une controverse impliquant son père, et un an après avoir été expulsée d'Australie, voici le champion du Grand Chelem serbe pour la 22e fois. Grâce à cette 10e couronne à l'Australian Open, Djokovic a rejoint son grand rival Rafael Nadal en haut de la liste des titres du Grand Chelem. À 35 ans, "Djoko" reprendra également le premier rang mondial demain, perdu au cours la dernière saison après que son statut de vaccination l'a privé nombreux tournois. Et la chose la plus inquiétante pour ses adversaires est que Djokovic n'a pas «l'intention de s'arrêter là». «Je suis toujours très motivé, a admis le Serbe lors d'une conférence de presse.Voyons où cela me mènera." Quelques heures plus tôt, la cinquième tête série à Melbourne avait une fois de plus démontré son immense domination en battant la troisième tête série, les Grecs Stefanos Tsisipas, 6-3, 7-6 et 7-6 . En larmes avec sa mère Comme il l'a été tout au long de cette quinzaine, Djokovic s'est avéré insoluble contre Tsisipas, 24 ans, qui pourrait également aspirer au numéro un mondial à la fin du match. Pour cela, cependant, il aurait été nécessaire que grec soulève le plus grand trophée la fin de la finale.Et contrairement ce match final a joué il y a deux ans Roland-Garros, dans lequel Tsisipas avait mené deux sets Nil contre Serbe, cette fois, "Djoko" ne l'a jamais laissé rêver. Le champion s'est cassé tôt dans le match et n'a jamais regardé en arrière. Une fois sa victoire consacrée, Djokovic s'est précipité dans les tribunes pour rejoindre sa mère, Dijana, et son entraîneur, Goran Ivanisevic.Il a fondu en larmes et a continué à pleurer en s'asseyant sur son banc, quand il est revenu à domaine. "L'un des plus difficiles" Le poids de deux semaines chargées émotionnellement venait d'être libérée. Parce que même si Djokovic n'a perdu qu'un seul tour sur le titre du titre - au deuxième tour, contre le surprenant Français Enzo Couacaud, 191e au monde - ce tournoi était «l'une des plus difficiles de [sa] vie.". "Je dirais que c'est probablement ma plus grande victoire", a poursuivi l'homme avec 93 titres ATP, dans son discours sur le terrain. "Il est le plus haut à avoir tenu une raquette de tennis", avait précédemment souligné Tsisipas. Cuisse et controverse Au début du tournoi, Djokovic doutait qu'il puisse aller jusqu'au bout. Certes, il est arrivé en Australie à la place du grand favori, celui qui avait déjà été couronné neuf fois sur la Rod Laver Arena et qui venait de remporter le titre à Adélaïde. Mais sa cuisse gauche lui faisait du mal, a-t-il réitéré aujourd'hui.Ce n'est que lors sa victoire au quatrième tour sur l'Australien 22e tête série Alex Min