Jo de Paris 2024: athlètes privés de climatisation dans les chambres du village olympique
- l’année dernière
#JoParis #2024 #athlètesprivés
https://gotopnews.com/post/1426555
Depuis cet été, le deuxième plus chaud de l'histoire n'a jamais enregistré en France, avec plusieurs épisodes très forts, la question de l'acclimatation des athlètes pendant les Jeux Olympiques est devenue encore plus importante. Comment les athlètes feront-ils s'acclimater dans des conditions de chaleur extrêmes? À la fois pendant les compétitions, mais aussi pendant leurs phases de récupération, dans leurs chambres dans le village olympique? À cheval entre Saint-Denis, Saint-ouen et l'île Saint-Denis, près de la Seine, le village, qui doit être achevé fin 2023, pourra accueillir près de 14 000 personnes pendant ces Jeux olympiques. Entouré de sept hectares d'espaces verts, promis à la neutralité du carbone, avec l'utilisation de matériaux dédiés à la performance énergétique, il doit ensuite être converti en logements familiaux et étudiants . Moins 6 degrés par rapport à la température extérieure Interrogé mardi sur conditions que les athlètes pouvaient rencontrer en cas d'épisodes chauds pendant Jeux olympiques, Nicolas Ferrand, le directeur général de Solino, une entreprise responsable de la construction des travaux vivaces des Jeux olympiques, a lancé le contact. "Nous construisons des salles où il sera inférieur à 6 degrés par rapport à la température extérieure", a-t-il déclaré lors d'une conférence de presse. Un engagement contractuel qui correspond à projets à la fois des communautés et organisateurs. "Si après, les communautés ou le cojo changent l'ordre, y compris la loi mais à ce moment-là, ce n'est plus la même chose. S'il est nécessaire de changer, avec leObjet technologique que nous avons mis en place , c'est la climatisation ", a déclaré Nicolas Ferrand," mais à ce moment-là, l'évaluation du classement n'est pas la même ". "C'est une question de société. Nous acceptons collectivement d'être au moins 6 degrés et avons une excellente empreinte carbone, ou nous disons que cela ne va pas, et nous sommes prêts à dégrader l'empreinte carbone", a-t-il ajouté. Le scénario d'un été brûlant, avec des températures pourraient dépasser 40 degrés depuis plusieurs jours, a déjà été envisagé par les organisateurs, qui ont décidé de se pencher avec encore plus d'acuité fin août après l'été bouillonnant a traversé la France. Les fédérations cherchent à accueillir leurs athlètes ailleurs Le directeur Cojo de Cojo Etienne Thobois a déclaré fin août qu'il avait lancé "un groupe travail spécifique sur le sujet, basé en particulier sur l'expertise des fédérations internationales". "Il est clair avons beaucoup appris à Tokyo sur ce sujet aujourd'hui, nous pouvons voir que ce seront des sujets potentiellement devons approcher pour Paris 2024", a-t-il déclaré. Au cours des derniers Jeux olympiques de Tokyo à l'été 2021, les athlètes ont pu affronter des épisodes chauds, avec un
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Depuis cet été, le deuxième plus chaud de l'histoire n'a jamais enregistré en France, avec plusieurs épisodes très forts, la question de l'acclimatation des athlètes pendant les Jeux Olympiques est devenue encore plus importante. Comment les athlètes feront-ils s'acclimater dans des conditions de chaleur extrêmes? À la fois pendant les compétitions, mais aussi pendant leurs phases de récupération, dans leurs chambres dans le village olympique? À cheval entre Saint-Denis, Saint-ouen et l'île Saint-Denis, près de la Seine, le village, qui doit être achevé fin 2023, pourra accueillir près de 14 000 personnes pendant ces Jeux olympiques. Entouré de sept hectares d'espaces verts, promis à la neutralité du carbone, avec l'utilisation de matériaux dédiés à la performance énergétique, il doit ensuite être converti en logements familiaux et étudiants . Moins 6 degrés par rapport à la température extérieure Interrogé mardi sur conditions que les athlètes pouvaient rencontrer en cas d'épisodes chauds pendant Jeux olympiques, Nicolas Ferrand, le directeur général de Solino, une entreprise responsable de la construction des travaux vivaces des Jeux olympiques, a lancé le contact. "Nous construisons des salles où il sera inférieur à 6 degrés par rapport à la température extérieure", a-t-il déclaré lors d'une conférence de presse. Un engagement contractuel qui correspond à projets à la fois des communautés et organisateurs. "Si après, les communautés ou le cojo changent l'ordre, y compris la loi mais à ce moment-là, ce n'est plus la même chose. S'il est nécessaire de changer, avec leObjet technologique que nous avons mis en place , c'est la climatisation ", a déclaré Nicolas Ferrand," mais à ce moment-là, l'évaluation du classement n'est pas la même ". "C'est une question de société. Nous acceptons collectivement d'être au moins 6 degrés et avons une excellente empreinte carbone, ou nous disons que cela ne va pas, et nous sommes prêts à dégrader l'empreinte carbone", a-t-il ajouté. Le scénario d'un été brûlant, avec des températures pourraient dépasser 40 degrés depuis plusieurs jours, a déjà été envisagé par les organisateurs, qui ont décidé de se pencher avec encore plus d'acuité fin août après l'été bouillonnant a traversé la France. Les fédérations cherchent à accueillir leurs athlètes ailleurs Le directeur Cojo de Cojo Etienne Thobois a déclaré fin août qu'il avait lancé "un groupe travail spécifique sur le sujet, basé en particulier sur l'expertise des fédérations internationales". "Il est clair avons beaucoup appris à Tokyo sur ce sujet aujourd'hui, nous pouvons voir que ce seront des sujets potentiellement devons approcher pour Paris 2024", a-t-il déclaré. Au cours des derniers Jeux olympiques de Tokyo à l'été 2021, les athlètes ont pu affronter des épisodes chauds, avec un