Basketball: visite ministérielle, «déception» et dunk décisif, la soirée riche en rebondissements de
- l’année dernière
#Basketball #visiteministérielle
https://gotopnews.com/post/1331763
A la salle Marcel-Cerdan , Et, à un peu plus de trois secondes de la fin de la rencontre, la salle Marcel-Cerdan de Levallois-Perret a explosé. Avec joie, bien sûr, afin de célébrer la victoire qui se dessinait pour les locaux face à l'un des concurrents au titre, l'Asvel . Mais surtout du soulagement. Oui, car, après un match très compliqué, Victor Wembanyama est arrivé, enfin avec cette claque monstrueuse qui a mis les Mets devant, pour faire ce que tout le monde attendait de lui : dominer son adversaire, attaquer le cercle, faire lever la foule... Bref , pour enflammer une salle qui n'était venue presque que pour ça. « Je voulais absolument qu'on offre à mon fils, qui est fan de la NBA, une place pour un match des Mets avant le départ de Victor aux États-Unis, raconte Grégory , croisé devant la salle pendant une heure et demie. avant le début de la réunion. C'est la première fois que nous venons ici, même si nous n'habitons pas loin. Jonathan Givony vient de bien plus loin. De New York, précisément. Accompagné de quelques collègues à lui, le journaliste d'ESPN a passé la semaine avec les Mets pour un reportage sur le phénomène Wembanyama. J'adore ce mec, nous raconte directement le journaliste américain, enjoué. Nous avons pu passer du temps avec lui et c'est une personne vraiment sympathique. On a de la chance de l'avoir dans la Draft, il fait des choses que personne n'a jamais faites. Certains demandent s'il n'y a pas trop d'attentes autour de lui, mais il crée cette attente. On va être patient, mais il n'y a aucune raison qu'il ne soit pas l'un des meilleurs joueurs de la NBA. Je serais très surpris s'il ne remportait pas le titre de MVP pendant un an. » Avant la Draft, prévue fin juin, et la découverte de salles comme le TD Garden de Boston ou le Madison Square Garden de New York, Victor Wembanyama doit encore "estomper" la saison avec Boulogne-Levallois, sa salle de 2.800 places, son speaker qui crie fort et son kop de 30 supporters, dont 20 enfants de moins de 10 ans. Une ambiance conviviale, même si Vincent Collet, l'entraîneur des Métropolitains 92, aurait préféré un autre décor pour accueillir cette affiche face à l'Asvel : « On était blindés de blindés. Nous avons dû refuser 6 000 demandes. Bien qu'emmêlée dans les galères liées à l'affaire Noël le Graët, Amélie Oudéa-Castera faisait partie des privilégiés qui ont pu assister à la rencontre. Le ministre des Sports est même allé faire un tour dans le vestiaire pour féliciter les Mets après leur victoire. « Je l'ai présentée, surtout aux Américains, pour qu'ils sachent que c'était la ministre des Sports, raconte Collet en riant. Ce serait étonnant qu'elle vienne pour nous, je pense qu'elle était là pour Victor. Elle a dit aux joueurs qu'elle avait apprécié le spectacle et que, même si elle n'était pas une spécialiste, elle s'était é
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A la salle Marcel-Cerdan , Et, à un peu plus de trois secondes de la fin de la rencontre, la salle Marcel-Cerdan de Levallois-Perret a explosé. Avec joie, bien sûr, afin de célébrer la victoire qui se dessinait pour les locaux face à l'un des concurrents au titre, l'Asvel . Mais surtout du soulagement. Oui, car, après un match très compliqué, Victor Wembanyama est arrivé, enfin avec cette claque monstrueuse qui a mis les Mets devant, pour faire ce que tout le monde attendait de lui : dominer son adversaire, attaquer le cercle, faire lever la foule... Bref , pour enflammer une salle qui n'était venue presque que pour ça. « Je voulais absolument qu'on offre à mon fils, qui est fan de la NBA, une place pour un match des Mets avant le départ de Victor aux États-Unis, raconte Grégory , croisé devant la salle pendant une heure et demie. avant le début de la réunion. C'est la première fois que nous venons ici, même si nous n'habitons pas loin. Jonathan Givony vient de bien plus loin. De New York, précisément. Accompagné de quelques collègues à lui, le journaliste d'ESPN a passé la semaine avec les Mets pour un reportage sur le phénomène Wembanyama. J'adore ce mec, nous raconte directement le journaliste américain, enjoué. Nous avons pu passer du temps avec lui et c'est une personne vraiment sympathique. On a de la chance de l'avoir dans la Draft, il fait des choses que personne n'a jamais faites. Certains demandent s'il n'y a pas trop d'attentes autour de lui, mais il crée cette attente. On va être patient, mais il n'y a aucune raison qu'il ne soit pas l'un des meilleurs joueurs de la NBA. Je serais très surpris s'il ne remportait pas le titre de MVP pendant un an. » Avant la Draft, prévue fin juin, et la découverte de salles comme le TD Garden de Boston ou le Madison Square Garden de New York, Victor Wembanyama doit encore "estomper" la saison avec Boulogne-Levallois, sa salle de 2.800 places, son speaker qui crie fort et son kop de 30 supporters, dont 20 enfants de moins de 10 ans. Une ambiance conviviale, même si Vincent Collet, l'entraîneur des Métropolitains 92, aurait préféré un autre décor pour accueillir cette affiche face à l'Asvel : « On était blindés de blindés. Nous avons dû refuser 6 000 demandes. Bien qu'emmêlée dans les galères liées à l'affaire Noël le Graët, Amélie Oudéa-Castera faisait partie des privilégiés qui ont pu assister à la rencontre. Le ministre des Sports est même allé faire un tour dans le vestiaire pour féliciter les Mets après leur victoire. « Je l'ai présentée, surtout aux Américains, pour qu'ils sachent que c'était la ministre des Sports, raconte Collet en riant. Ce serait étonnant qu'elle vienne pour nous, je pense qu'elle était là pour Victor. Elle a dit aux joueurs qu'elle avait apprécié le spectacle et que, même si elle n'était pas une spécialiste, elle s'était é