Canadiens: la semaine des chiffres; la progression de Juraj Slafkovsky
- l’année dernière
# #Canadiens #semainechiffres #progression
https://gotopnews.com/post/1158220
Bienvenue à La semaine en chiffres. Chaque semaine, je mets en évidence trois statistiques clés qui ont défini les réussites et les échecs d'entraînement au cours des sept derniers jours. Cette semaine : Slafkovsky progresse bien, le jeu de puissance est à la peine et un calendrier défavorable pour Montréal Points en décembre pour Juraj Slafkovsky Même s'il reste encore beaucoup à apprendre, le jeu de Juraj Slafkovsky s'améliore déjà visiblement. Il reçoit de plus en plus d'opportunités dans le top-6 et sur le jeu de puissance il est de plus en plus dangereux en territoire offensif. Ses progrès sont évidents lorsque l'on compare ses chiffres en décembre à ses performances en novembre et octobre. Son jeu de passeur m'a particulièrement surpris. Il fait encore des erreurs, mais à chaque match, il fait quelques passes époustouflantes. Qu'il s'agisse de leur vitesse, de leur précision ou du trafic qu'ils doivent traverser, il montre qu'il peut être plus qu'un simple grand gars qui se tient devant le filet. Il est encore trop tôt pour le placer en première ligne soir après soir. Il n'a que 18 ans après tout, il faut être patient, mais il est facile de voir le joueur vedette en lui ces dernières semaines. Tout semble indiquer que Slafkovsky ne participera pas au championnat du monde Jujior plus tard en décembre, et je pense que c'est la bonne décision. Il apprend clairement et il est bien soutenu par l'organisation du CH qui a investi dans son programme de développement. Garder un œil sur lui, entouré des meilleures installations, entraîneurs et ressources dont dispose l'organisation, semble porter ses fruits jusqu'à présent. Aucune raison de s'écarter du plan. 1/24 En supériorité numérique depuis l'absence de Sean Monahan Le jeu de puissance du CH n'a jamais été parmi les puissances de la LNH cette saison, mais le niveau d'incompétence de l'attaque massive des derniers matchs est tout simplement inacceptable. Montréal perd une tonne d'occasions de faire basculer l'élan en sa faveur et c'est maintenant 1/24 depuis le 6 décembre, le premier match que Sean Monahan a raté en raison d'une blessure. L'absence de Monahan comme présence devant et autour du filet adverse semble vraiment handicaper le CH. Martin St-Louis a essayé plusieurs alternatives, dont Christian Dvorak, Evgenii Dadonov et Juraj Slafkovsky, mais rien n'a fonctionné. Lors de cette séquence, le CH a touché la cible sur seulement 41% de ses tirs et n'a dirigé que 9% de ses passes vers l'enclave, deux marques qui seraient facilement à la dernière place cette saison. Bien sûr, l'absence de Monahan n'est pas le seul problème. Ils sont également trop prévisibles, ce qui les rend faciles à arrêter. Toute la stratégie consiste essentiellement à donner la rondelle à Suzuki sur la droite et à voir s'il peut tirer ou repérer Cole Caufield de l'autre cô
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Bienvenue à La semaine en chiffres. Chaque semaine, je mets en évidence trois statistiques clés qui ont défini les réussites et les échecs d'entraînement au cours des sept derniers jours. Cette semaine : Slafkovsky progresse bien, le jeu de puissance est à la peine et un calendrier défavorable pour Montréal Points en décembre pour Juraj Slafkovsky Même s'il reste encore beaucoup à apprendre, le jeu de Juraj Slafkovsky s'améliore déjà visiblement. Il reçoit de plus en plus d'opportunités dans le top-6 et sur le jeu de puissance il est de plus en plus dangereux en territoire offensif. Ses progrès sont évidents lorsque l'on compare ses chiffres en décembre à ses performances en novembre et octobre. Son jeu de passeur m'a particulièrement surpris. Il fait encore des erreurs, mais à chaque match, il fait quelques passes époustouflantes. Qu'il s'agisse de leur vitesse, de leur précision ou du trafic qu'ils doivent traverser, il montre qu'il peut être plus qu'un simple grand gars qui se tient devant le filet. Il est encore trop tôt pour le placer en première ligne soir après soir. Il n'a que 18 ans après tout, il faut être patient, mais il est facile de voir le joueur vedette en lui ces dernières semaines. Tout semble indiquer que Slafkovsky ne participera pas au championnat du monde Jujior plus tard en décembre, et je pense que c'est la bonne décision. Il apprend clairement et il est bien soutenu par l'organisation du CH qui a investi dans son programme de développement. Garder un œil sur lui, entouré des meilleures installations, entraîneurs et ressources dont dispose l'organisation, semble porter ses fruits jusqu'à présent. Aucune raison de s'écarter du plan. 1/24 En supériorité numérique depuis l'absence de Sean Monahan Le jeu de puissance du CH n'a jamais été parmi les puissances de la LNH cette saison, mais le niveau d'incompétence de l'attaque massive des derniers matchs est tout simplement inacceptable. Montréal perd une tonne d'occasions de faire basculer l'élan en sa faveur et c'est maintenant 1/24 depuis le 6 décembre, le premier match que Sean Monahan a raté en raison d'une blessure. L'absence de Monahan comme présence devant et autour du filet adverse semble vraiment handicaper le CH. Martin St-Louis a essayé plusieurs alternatives, dont Christian Dvorak, Evgenii Dadonov et Juraj Slafkovsky, mais rien n'a fonctionné. Lors de cette séquence, le CH a touché la cible sur seulement 41% de ses tirs et n'a dirigé que 9% de ses passes vers l'enclave, deux marques qui seraient facilement à la dernière place cette saison. Bien sûr, l'absence de Monahan n'est pas le seul problème. Ils sont également trop prévisibles, ce qui les rend faciles à arrêter. Toute la stratégie consiste essentiellement à donner la rondelle à Suzuki sur la droite et à voir s'il peut tirer ou repérer Cole Caufield de l'autre cô