La créatrice géorgienne Demna Gvasalia rend hommage à l'Ukraine lors du défilé Balenciaga
- il y a 2 ans
« Vive l'Ukraine, pour la beauté, la force, la vérité, la liberté » : Au début et à la fin du défilé, Demna récite un poème en ukrainien qui date de 1917.
#Lecréateur #géorgienDemna #Gvasaliarend
« Vive l'Ukraine, pour la beauté, la force, la vérité, la liberté » : Au début et à la fin du défilé, Demna récite un poème en ukrainien qui date de 1917.
Des t-shirts bleus et jaunes aux couleurs du drapeau ukrainien ont été placés sur chaque siège avec des notes de marche signées par le designer géorgien Demna, basé à Balenciaga, lui-même réfugié de la guerre avec la Russie. Dimanche, il a rendu un vibrant hommage à l'Ukraine lors d'un défilé au Bourget, en Seine-Saint-Denis, au nord de Paris.
neige floconneuse et épaisse
« Vive l'Ukraine, pour la beauté, la force, la vérité, la liberté » : En ukrainien, Demner récite un poème de 1917 dans le noir, en introduction et fin de son défilé, et explique pourquoi il était dans la Ces « la mode a perdu son droit ». exister" et "la semaine de la mode semble ridicule".
Séparés par un mur transparent d'un pavillon du parc des expositions du Bourget, des mannequins femmes et hommes marchent en rond sous les flocons de neige et sur la neige épaisse, en gardant les pieds stables pour ne pas glisser. De l'autre côté du mur, En attendant pour que le défilé commence, il faisait froid, comme c'est souvent le cas dans la mode. Le public a ensuite enfilé des T-shirts ukrainiens.
"Je serai un réfugié pour toujours"
Costumes noirs et sacs à dos rappelant les sacs poubelles ont donné le coup d'envoi du défilé. Certains des hommes étaient à moitié nus dans des boxers et des baskets, leurs jambes exposées et vulnérables dans la neige. Un homme tout en jaune et une femme en robe et traîne bleues aérées terminaient le défilé.
"La guerre en Ukraine a ramené ma douleur et mon traumatisme depuis 1993, lorsque la même chose s'est produite dans ma ville natale et que j'ai toujours été un réfugié", a écrit Demner. "J'ai parfois envie d'annuler une émission pour laquelle mon équipe et moi avons travaillé si dur (...) mais je me rends compte qu'annuler l'émission revient à m'abandonner à la mauvaise année qui me fait mal depuis près de 30 ans". "La marche n'a pas besoin d'explication. Elle est dédiée au courage, à la résistance et au triomphe de l'amour et de la paix", a-t-il conclu.
#Lecréateur #géorgienDemna #Gvasaliarend
« Vive l'Ukraine, pour la beauté, la force, la vérité, la liberté » : Au début et à la fin du défilé, Demna récite un poème en ukrainien qui date de 1917.
Des t-shirts bleus et jaunes aux couleurs du drapeau ukrainien ont été placés sur chaque siège avec des notes de marche signées par le designer géorgien Demna, basé à Balenciaga, lui-même réfugié de la guerre avec la Russie. Dimanche, il a rendu un vibrant hommage à l'Ukraine lors d'un défilé au Bourget, en Seine-Saint-Denis, au nord de Paris.
neige floconneuse et épaisse
« Vive l'Ukraine, pour la beauté, la force, la vérité, la liberté » : En ukrainien, Demner récite un poème de 1917 dans le noir, en introduction et fin de son défilé, et explique pourquoi il était dans la Ces « la mode a perdu son droit ». exister" et "la semaine de la mode semble ridicule".
Séparés par un mur transparent d'un pavillon du parc des expositions du Bourget, des mannequins femmes et hommes marchent en rond sous les flocons de neige et sur la neige épaisse, en gardant les pieds stables pour ne pas glisser. De l'autre côté du mur, En attendant pour que le défilé commence, il faisait froid, comme c'est souvent le cas dans la mode. Le public a ensuite enfilé des T-shirts ukrainiens.
"Je serai un réfugié pour toujours"
Costumes noirs et sacs à dos rappelant les sacs poubelles ont donné le coup d'envoi du défilé. Certains des hommes étaient à moitié nus dans des boxers et des baskets, leurs jambes exposées et vulnérables dans la neige. Un homme tout en jaune et une femme en robe et traîne bleues aérées terminaient le défilé.
"La guerre en Ukraine a ramené ma douleur et mon traumatisme depuis 1993, lorsque la même chose s'est produite dans ma ville natale et que j'ai toujours été un réfugié", a écrit Demner. "J'ai parfois envie d'annuler une émission pour laquelle mon équipe et moi avons travaillé si dur (...) mais je me rends compte qu'annuler l'émission revient à m'abandonner à la mauvaise année qui me fait mal depuis près de 30 ans". "La marche n'a pas besoin d'explication. Elle est dédiée au courage, à la résistance et au triomphe de l'amour et de la paix", a-t-il conclu.