Mort de Jean-Pierre Pernaut : 'Il ne voulait pas lâcher', raconte sa femme Nathalie Marquay
- il y a 2 ans
L'épouse du journaliste s'est exprimée jeudi soir au 20 Heures de TF 1 pour la première fois depuis la disparition de son mari de 71 ans mercredi.
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Elle choisit de s'exprimer chez elle. Celui de TF1. Nathalie Marquay s'est exprimée jeudi soir au 20 Heures de la Une pour parler de son mari, Jean-Pierre Pernot, "son" Jean-Pierre, décédé mercredi à l'âge de 71 ans d'un cancer du poumon. Le journaliste a rencontré l'ancienne reine de beauté lors d'une soirée Miss France en 2002, avant de l'épouser en 2007. "Il a toujours été fort. Il s'est toujours battu pour sa famille. Il ne voulait pas lâcher prise", a déclaré sa femme, qui a retenu ses larmes devant la caméra.
Elle a parlé de l'homme, mais aussi du reporter, l'un ne peut pas se passer de l'autre. "Il ne prend pas sa retraite. C'est un bourreau de travail. Il s'inquiète toujours pour la famille TF1. Il essaie toujours de faire avancer les choses. Ah, je, je vais le faire... vous vous rendez compte, il demande au public tous les jours. Il s'inquiète pour le public. Je le trouve toujours stressé le dimanche soir parce qu'il doit se préparer pendant 13 heures. C'est comme s'il avait peur de ne pas y arriver. Alors à chaque fois qu'on est avec les enfants, on se dit, oh ouais, maintenant c'était Dimanche soir et il était de mauvaise humeur. »
"Pour lui, TF1, son groupe de 13 heures est important"
Jean-Pierre Perrault a été difficile à accepter. Même ses problèmes de santé ont commencé. « Oui, il est fatigué, confirme Nathalie Marquay, la voix tremblante. Oui, combien de fois je lui ai crié dessus. Je lui ai dit : tu dois te reposer, le médecin t'a dit de te reposer. ), je lui ai dit : C'est un signe d'en haut. Tu as besoin de repos, ton corps est fatigué. »
Lire aussi La mort de Jean-Pierre Pernaut : comment il a brisé les tabous en provoquant le cancer
Mais le journaliste n'a pas lâché prise. "Il se lève à 6h tous les matins. Il veut préparer son agenda. Il doit être à son bureau à huit heures. Il en veut toujours plus, pour que la famille puisse bien vivre et tout avoir. C'est comme ça qu'il a commencé. prendre sa retraite. Je lui ai dit : mais oui, mais je veux. J'espère que tu profites de nous, les enfants sont tous grands et nous voyageons tous les deux. Nous avons hâte d'être ensemble et de ne faire qu'un comme tout le monde Pour un vieux couple. Mais Jean-Pierre est différent de tout le monde. Pour lui, TF1, son groupe du 13 heures, ses amis, son oxygène sont vitaux. C'est pourquoi il a tant de mal à le capter. »
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Elle choisit de s'exprimer chez elle. Celui de TF1. Nathalie Marquay s'est exprimée jeudi soir au 20 Heures de la Une pour parler de son mari, Jean-Pierre Pernot, "son" Jean-Pierre, décédé mercredi à l'âge de 71 ans d'un cancer du poumon. Le journaliste a rencontré l'ancienne reine de beauté lors d'une soirée Miss France en 2002, avant de l'épouser en 2007. "Il a toujours été fort. Il s'est toujours battu pour sa famille. Il ne voulait pas lâcher prise", a déclaré sa femme, qui a retenu ses larmes devant la caméra.
Elle a parlé de l'homme, mais aussi du reporter, l'un ne peut pas se passer de l'autre. "Il ne prend pas sa retraite. C'est un bourreau de travail. Il s'inquiète toujours pour la famille TF1. Il essaie toujours de faire avancer les choses. Ah, je, je vais le faire... vous vous rendez compte, il demande au public tous les jours. Il s'inquiète pour le public. Je le trouve toujours stressé le dimanche soir parce qu'il doit se préparer pendant 13 heures. C'est comme s'il avait peur de ne pas y arriver. Alors à chaque fois qu'on est avec les enfants, on se dit, oh ouais, maintenant c'était Dimanche soir et il était de mauvaise humeur. »
"Pour lui, TF1, son groupe de 13 heures est important"
Jean-Pierre Perrault a été difficile à accepter. Même ses problèmes de santé ont commencé. « Oui, il est fatigué, confirme Nathalie Marquay, la voix tremblante. Oui, combien de fois je lui ai crié dessus. Je lui ai dit : tu dois te reposer, le médecin t'a dit de te reposer. ), je lui ai dit : C'est un signe d'en haut. Tu as besoin de repos, ton corps est fatigué. »
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Mais le journaliste n'a pas lâché prise. "Il se lève à 6h tous les matins. Il veut préparer son agenda. Il doit être à son bureau à huit heures. Il en veut toujours plus, pour que la famille puisse bien vivre et tout avoir. C'est comme ça qu'il a commencé. prendre sa retraite. Je lui ai dit : mais oui, mais je veux. J'espère que tu profites de nous, les enfants sont tous grands et nous voyageons tous les deux. Nous avons hâte d'être ensemble et de ne faire qu'un comme tout le monde Pour un vieux couple. Mais Jean-Pierre est différent de tout le monde. Pour lui, TF1, son groupe du 13 heures, ses amis, son oxygène sont vitaux. C'est pourquoi il a tant de mal à le capter. »