Vers un vaccin nasal contre la Covid-19 ? Ce qu’il faut retenir
- il y a 3 ans
Des chercheurs français ont déposé un brevet pour faire reconnaître leur vaccin contre la Covid-19 par spray nasal.
Il est développé par des chercheurs de l’Université de Tours et de l’INRAE (Institut National de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement).
Ce vaccin serait résistant aux variants et empêcherait même tout risque de contamination et donc de propagation du virus.
Contrairement aux vaccins intramusculaires seuls les vaccins à administration par voie nasale seraient capables d'éviter la présence de virus dans le nez, stade initial de l'infection. Ils induisent en effet une immunité au niveau des muqueuses nasales, porte d'entrée et lieu de multiplication du virus." Auteurs de l’étude dans un communiqué
En diffusant dans chaque narine des protéines virales dans des nanoparticules, il entraînerait une immunité muqueuse.
Dans un premier temps, cette solution pourrait être utilisée en complément des vaccins par injection puis pourrait être utilisée pour les rappels.
Mais le chemin est encore long pour ces chercheurs : Actuellement au stade d’essais cliniques sur les animaux (conclusions encourageantes), on espère voir les essais cliniques débuter sur l’homme au deuxième semestre 2022 pour une commercialisation au cours de l’année suivante.
Il est développé par des chercheurs de l’Université de Tours et de l’INRAE (Institut National de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement).
Ce vaccin serait résistant aux variants et empêcherait même tout risque de contamination et donc de propagation du virus.
Contrairement aux vaccins intramusculaires seuls les vaccins à administration par voie nasale seraient capables d'éviter la présence de virus dans le nez, stade initial de l'infection. Ils induisent en effet une immunité au niveau des muqueuses nasales, porte d'entrée et lieu de multiplication du virus." Auteurs de l’étude dans un communiqué
En diffusant dans chaque narine des protéines virales dans des nanoparticules, il entraînerait une immunité muqueuse.
Dans un premier temps, cette solution pourrait être utilisée en complément des vaccins par injection puis pourrait être utilisée pour les rappels.
Mais le chemin est encore long pour ces chercheurs : Actuellement au stade d’essais cliniques sur les animaux (conclusions encourageantes), on espère voir les essais cliniques débuter sur l’homme au deuxième semestre 2022 pour une commercialisation au cours de l’année suivante.