Paris. Ils creusent un tunnel et volent 500 000 euros de fourrure dans une boutique
- il y a 5 ans
Une boutique de fourrures du IXe arrondissement de Paris a été victime d’un spectaculaire cambriolage ce week-end. Des malfaiteurs se sont introduits dans le magasin en creusant un tunnel depuis une cave. Ils seraient repartis avec 500 000 euros de marchandise.
Lors de la réouverture de sa boutique, ce lundi 28 octobre à 11 h, la gérante de « Sophie L. Fourrures » a déchanté. Son magasin, situé dans le IXe arrondissement de Paris, avait été cambriolé au cours du week-end par des malfaiteurs visiblement bien renseignés et bien organisés, rapporte Le Parisien. Le préjudice est estimé à 500 000 euros pour ce commerce dont la plupart des articles valent plusieurs milliers d’euros.
Ils laissent derrière eux leurs outils
Pour accéder à la boutique, les malfaiteurs se seraient d’abord introduits dans une cave située juste en dessous et auraient alors creusé un trou dans le plafond. Une fois à l’intérieur du magasin, ils ont emporté plusieurs pièces de fourrure accrochées les unes aux autres « par un système de chaînes et de cadenas », détaille le quotidien francilien.
Les cambrioleurs, toujours en fuite, ont laissé derrière eux un escabeau et des outils. La gérante a porté plainte et la police parisienne a ouvert une enquête.
Lors de la réouverture de sa boutique, ce lundi 28 octobre à 11 h, la gérante de « Sophie L. Fourrures » a déchanté. Son magasin, situé dans le IXe arrondissement de Paris, avait été cambriolé au cours du week-end par des malfaiteurs visiblement bien renseignés et bien organisés, rapporte Le Parisien. Le préjudice est estimé à 500 000 euros pour ce commerce dont la plupart des articles valent plusieurs milliers d’euros.
Ils laissent derrière eux leurs outils
Pour accéder à la boutique, les malfaiteurs se seraient d’abord introduits dans une cave située juste en dessous et auraient alors creusé un trou dans le plafond. Une fois à l’intérieur du magasin, ils ont emporté plusieurs pièces de fourrure accrochées les unes aux autres « par un système de chaînes et de cadenas », détaille le quotidien francilien.
Les cambrioleurs, toujours en fuite, ont laissé derrière eux un escabeau et des outils. La gérante a porté plainte et la police parisienne a ouvert une enquête.