Brexit. « L'accord de retrait n'est pas ouvert à la renégociation », prévient Donald Tusk
- il y a 5 ans
Le président du Conseil européen a rappelé vendredi que l'accord négocié entre Royaume-Uni et Union européenne ne peut pas être rediscuté. Une manière de prévenir Boris Johnson et Jeremy Hunt.
L'Union européenne (UE) a une nouvelle fois prévenu, à l'intention du futur Premier ministre britannique, que l'accord sur le Brexit ne pourrait pas être changé, à l'issue d'un sommet à 27 à Bruxelles vendredi 21 juin.
« Nous sommes ouverts à des discussions en ce qui concerne la future relation entre le Royaume-Uni et l'UE si la position du Royaume-Uni devait évoluer, mais l'accord de retrait n'est pas ouvert à la renégociation », a dit le président du Conseil européen Donald Tusk lors d'une conférence de presse.
Boris Johnson et Jeremy Hunt sont les deux derniers prétendants à la succession de Theresa May à la tête du Parti conservateur et du gouvernement britannique et seront départagés par un vote des quelque 160 000 adhérents du parti.
L’ancien maire de Londres, favori pour remplacer Theresa May au 10, Downing street, a largement remporté jeudi en fin d’après-midi le cinquième et dernier tour de scrutin organisé au sein du groupe parlementaire conservateur. Il promet notamment de renégocier l'accord de retrait, plus particulièrement le « filet de sécurité » (« backstop ») en Irlande du Nord.
L'Union européenne (UE) a une nouvelle fois prévenu, à l'intention du futur Premier ministre britannique, que l'accord sur le Brexit ne pourrait pas être changé, à l'issue d'un sommet à 27 à Bruxelles vendredi 21 juin.
« Nous sommes ouverts à des discussions en ce qui concerne la future relation entre le Royaume-Uni et l'UE si la position du Royaume-Uni devait évoluer, mais l'accord de retrait n'est pas ouvert à la renégociation », a dit le président du Conseil européen Donald Tusk lors d'une conférence de presse.
Boris Johnson et Jeremy Hunt sont les deux derniers prétendants à la succession de Theresa May à la tête du Parti conservateur et du gouvernement britannique et seront départagés par un vote des quelque 160 000 adhérents du parti.
L’ancien maire de Londres, favori pour remplacer Theresa May au 10, Downing street, a largement remporté jeudi en fin d’après-midi le cinquième et dernier tour de scrutin organisé au sein du groupe parlementaire conservateur. Il promet notamment de renégocier l'accord de retrait, plus particulièrement le « filet de sécurité » (« backstop ») en Irlande du Nord.