Implants mammaires. Un registre national qui répertoriera les femmes porteuses mis en place cet été
- il y a 5 ans
Alors que plusieurs modèles d’implants mammaires ont été interdits en France car soupçonnés d’être liés à un risque de cancer, un registre national recensant toutes les prothèses implantées en France sera mis en place cet été. Ce registre existait déjà mais le feu vert de la Cnil.
Un registre national recensant toutes les prothèses mammaires implantées en France sera mis en place cet été, ont annoncé mardi les autorités sanitaires, quelques jours après l’interdiction de plusieurs modèles soupçonnés de favoriser une forme de cancer.
La création de ce registre qui répertoriera toutes les femmes porteuses était réclamée par les chirurgiens esthétiques et les patientes. Développé par la profession, il était en fait prêt depuis trois ans mais sa mise en place était suspendue au feu vert administratif de la commission nationale de l’informatique et des libertés (Cnil).
Ce registre « permettra d’améliorer le suivi des femmes porteuses d’implants mammaires », a estimé la Direction générale de la santé (DGS) dans un communiqué, au lendemain de la tenue d’un comité consacré à ces implants. Ce « comité de suivi » réunissait les agences sanitaires, des représentants des associations de patientes et des professionnels de santé.
Un registre national recensant toutes les prothèses mammaires implantées en France sera mis en place cet été, ont annoncé mardi les autorités sanitaires, quelques jours après l’interdiction de plusieurs modèles soupçonnés de favoriser une forme de cancer.
La création de ce registre qui répertoriera toutes les femmes porteuses était réclamée par les chirurgiens esthétiques et les patientes. Développé par la profession, il était en fait prêt depuis trois ans mais sa mise en place était suspendue au feu vert administratif de la commission nationale de l’informatique et des libertés (Cnil).
Ce registre « permettra d’améliorer le suivi des femmes porteuses d’implants mammaires », a estimé la Direction générale de la santé (DGS) dans un communiqué, au lendemain de la tenue d’un comité consacré à ces implants. Ce « comité de suivi » réunissait les agences sanitaires, des représentants des associations de patientes et des professionnels de santé.