Brexit. Emmanuel Macron refuse que l’UE soit « otage » de la crise britannique
- il y a 5 ans
Le président de la République s’est exprimé sur la question du Brexit, ce mardi 2 avril, lors de la visite du Premier ministre irlandais à l’Élysée. Pour Emmanuel Macron l’Union européenne ne doit pas être « otage » de la crise politique au Royaume-Uni. Le rejet de tout plan alternatif, voté par les députés britanniques lundi 1er avril, laisse entrevoir une sortie sans accord, selon le chef de l’État.
Emmanuel Macron a refusé mardi que l’Union européenne soit « durablement otage » de la crise politique au Royaume-Uni et souligné que faute de présenter un « plan alternatif crédible d’ici le 10 avril », Londres « aura de facto choisi de lui-même de sortir sans accord ».
« Notre priorité, ce doit être le bon fonctionnement de l’Union européenne et du marché unique. L’Union européenne ne peut être durablement l’otage de la résolution d’une crise politique au Royaume-Uni », a insisté le chef de l’État aux côtés du Premier ministre irlandais Leo Varadkar, qu’il recevait pour examiner les éventuelles conséquences d’un Brexit sans accord.
À une semaine d’un conseil européen exceptionnel, le 10 avril, le président français a aussi promis que la France et l’Europe « n’abandonneront jamais, quoi qu’il arrive, l’Irlande et les Irlandais », soulignant « l’extraordinaire difficulté que poserait à l’Irlande » un Brexit sans accord.
Dans un discours ferme, Emmanuel Macron a souligné que « le rejet par trois fois de l’accord par la Chambres des communes ainsi que le rejet à ce stade de tout plan alternatif nous mettent sur le chemin d’une sortie sans accord ».
Emmanuel Macron a refusé mardi que l’Union européenne soit « durablement otage » de la crise politique au Royaume-Uni et souligné que faute de présenter un « plan alternatif crédible d’ici le 10 avril », Londres « aura de facto choisi de lui-même de sortir sans accord ».
« Notre priorité, ce doit être le bon fonctionnement de l’Union européenne et du marché unique. L’Union européenne ne peut être durablement l’otage de la résolution d’une crise politique au Royaume-Uni », a insisté le chef de l’État aux côtés du Premier ministre irlandais Leo Varadkar, qu’il recevait pour examiner les éventuelles conséquences d’un Brexit sans accord.
À une semaine d’un conseil européen exceptionnel, le 10 avril, le président français a aussi promis que la France et l’Europe « n’abandonneront jamais, quoi qu’il arrive, l’Irlande et les Irlandais », soulignant « l’extraordinaire difficulté que poserait à l’Irlande » un Brexit sans accord.
Dans un discours ferme, Emmanuel Macron a souligné que « le rejet par trois fois de l’accord par la Chambres des communes ainsi que le rejet à ce stade de tout plan alternatif nous mettent sur le chemin d’une sortie sans accord ».