Gare Montparnasse. Des manifestants sur les voies au Mans et à Vendôme-Villiers, trafic perturbé
- il y a 5 ans
Gare Montparnasse. Des manifestants sur les voies au Mans et à Vendôme-Villiers, trafic perturbé
Trafic ferroviaire perturbé à la gare de Paris-Montparnasse depuis ce lundi en fin de matinée. Des manifestants sur les voies, au Mans (Sarthe) et à Vendôme-TGV (Loir-et-Cher), gênent notamment les trains vers le Centre-Val de Loire, les Pays de la Loire et la Nouvelle Aquitaine.
ette fois, le trafic de la gare de Paris-Montparnasse n’est pas touché par une panne électrique, mais par la présence de manifestants sur les voies depuis ce lundi 25 mars en fin de matinée. Sont concernées les gares du Mans, dans la Sarthe (blocages des voies par les forains en colère), et de Vendôme Villiers (ou Vendôme TGV), dans le Loir-et-Cher (les salariés de l’entreprise Arjowiggins ont envahi les voies ferrées).
Les forains au Mans
Au Mans, vers 11 h, une centaine de forains, nombreux à être venus des Hauts-de-France, avait envahi la gare. Assis en bordures de voies, ils ont bloqué la circulation des trains, agitant un drapeau tricolore et arborant des panneaux sur lesquels était écrit « c’est la fête » ou « je ne veux pas perdre ma vie à la gagner ».
Trafic ferroviaire perturbé à la gare de Paris-Montparnasse depuis ce lundi en fin de matinée. Des manifestants sur les voies, au Mans (Sarthe) et à Vendôme-TGV (Loir-et-Cher), gênent notamment les trains vers le Centre-Val de Loire, les Pays de la Loire et la Nouvelle Aquitaine.
ette fois, le trafic de la gare de Paris-Montparnasse n’est pas touché par une panne électrique, mais par la présence de manifestants sur les voies depuis ce lundi 25 mars en fin de matinée. Sont concernées les gares du Mans, dans la Sarthe (blocages des voies par les forains en colère), et de Vendôme Villiers (ou Vendôme TGV), dans le Loir-et-Cher (les salariés de l’entreprise Arjowiggins ont envahi les voies ferrées).
Les forains au Mans
Au Mans, vers 11 h, une centaine de forains, nombreux à être venus des Hauts-de-France, avait envahi la gare. Assis en bordures de voies, ils ont bloqué la circulation des trains, agitant un drapeau tricolore et arborant des panneaux sur lesquels était écrit « c’est la fête » ou « je ne veux pas perdre ma vie à la gagner ».