Quand tricot et internet s'allient au secours des babouchkas

  • il y a 5 ans

Si les grands-mères russes sont loin de toutes maîtriser internet sur le bout des doigts, certaines d'entre elles tentent de vendre via les réseaux sociaux bonnets, chaussettes et écharpes tricotés pour compenser leurs faibles retraites. Pour la quarantaine de tricoteuses participant au compte Granny's sur le réseau social Instagram (@russiangrannies), pas question de passer des heures, comme de nombreuses personnes âgées russes, sur un trottoir par le froid humide et perçant qui règne souvent à Saint-Pétersbourg pour espérer vendre un tricot pour quelques roubles.

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