REGARD 514 - NOS FILMS - Entretien avec Cendre Chassanne - RLHD.TV
- il y a 5 ans
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NOS FILMS, la collection.
Le Cinéma cherche parfois ses mots. Il peut les trouver, comme ici, sur le parquet d'un Théâtre. C'est alors une belle aventure. Celle d'offrir au public des œuvres interprétées qu'il a pas forcément vu sur grand écran.
Le Cinéma est verbe. Et la phrase descriptive d'un mouvement.
Trois films qui ne sont pas racontés mais vécus au travers l'impression de comédiennes. Il faut aimer le cinéma pour le défendre ainsi. Quelle aventure interpelle le public ? Celle des années soixante flirtant avec les années 80. Un monde. Des descriptions, des sensations oubliées, et de la musique, une perception à fleur de peau. Qui n'a pas vue "Ponette" de Jacques Doillon, "L'argent de poche" de Truffaut, ou encore "Sans toit ni loi" d'Agnès Varda, se dépêchera d'aller découvrir cette impression partagée par les comédiennes Carole Guitta, Isabelle Fournier et Nathalie Bitan. Spectatrices de "leur" film. Elles partagent avec justesse cet élément troublant qu'apporte parfois le cinéma. Un réel partage.
La direction de ce plaisir (entier) revient au doigté, à la sensibilité d'une femme qui aime trop le cinéma (Truffaut particulièrement) pour ne pas nous apporter ce plus, cette petite chose indéfinissable, cette parcelle de temps que l'on appelle le bonheur.
NOS FILMS, la collection.
Le Cinéma cherche parfois ses mots. Il peut les trouver, comme ici, sur le parquet d'un Théâtre. C'est alors une belle aventure. Celle d'offrir au public des œuvres interprétées qu'il a pas forcément vu sur grand écran.
Le Cinéma est verbe. Et la phrase descriptive d'un mouvement.
Trois films qui ne sont pas racontés mais vécus au travers l'impression de comédiennes. Il faut aimer le cinéma pour le défendre ainsi. Quelle aventure interpelle le public ? Celle des années soixante flirtant avec les années 80. Un monde. Des descriptions, des sensations oubliées, et de la musique, une perception à fleur de peau. Qui n'a pas vue "Ponette" de Jacques Doillon, "L'argent de poche" de Truffaut, ou encore "Sans toit ni loi" d'Agnès Varda, se dépêchera d'aller découvrir cette impression partagée par les comédiennes Carole Guitta, Isabelle Fournier et Nathalie Bitan. Spectatrices de "leur" film. Elles partagent avec justesse cet élément troublant qu'apporte parfois le cinéma. Un réel partage.
La direction de ce plaisir (entier) revient au doigté, à la sensibilité d'une femme qui aime trop le cinéma (Truffaut particulièrement) pour ne pas nous apporter ce plus, cette petite chose indéfinissable, cette parcelle de temps que l'on appelle le bonheur.