Affaire Maëlys. Lelandais aurait modifié sa version des faits pendant la reconstitution.
- il y a 6 ans
Affaire Maëlys. Lelandais aurait modifié sa version des faits pendant la reconstitution.
Selon BFM/TV, Nordahl Lelandais, meurtrier présumé de Maëlys de Araujo, aurait livré une nouvelle version des faits de la nuit du 26 au 27 août 2017, au cours de la reconstitution qui a eu lieu le 24 septembre au soir et duré près de 7 heures.
Un élément nouveau a fait irruption dans l’enquête sur le meurtre de la petite Maëlys de Araujo, lors de la reconstitution qui s’est tenue dans la nuit du 24 au 25 septembre.
Le cortège composé des juges d’instructions, du suspect Nordahl Lelandais, des parents de la victime et de près de 200 gendarmes, s’est arrêté un long moment sur le parking d’une zone commerciale de Pont-de-Beauvoisin. Selon BFM/TV, Nordahl Lelandais, mis en examen dans cette affaire, aurait fait de nouvelles déclarations sur le déroulé des événements de la nuit fatidique où la fillette a été tuée.
Plusieurs coups violents
Selon ses propos rapportés indirectement par BFM/TV, c’est à cet endroit qu’il aurait frappé Maëlys qui se trouvait dans son véhicule le soir du drame. Il aurait reconnu avoir porté plusieurs coups à la fillette. D’après ses précédentes déclarations, il n’avait reconnu avoir porté qu’une seule gifle, provoquant, selon lui, la mort « accidentelle » de l’enfant. L’autopsie des restes de Maëlys avait mis en évidence une fracture de la mâchoire provoquée avant sa mort « par un ou plusieurs coups violents ».
Lors de la reconstitution, il aurait mimé des gestes très violents sur un mannequin, selon des témoins présents, cités par BFM/TV. Puis il aurait pris la route du domicile ses parents à Domessin (Savoie). Il aurait alors raconté s’être arrêté un peu plus loin avant de constater la mort de la fillette.
Le suspect aurait ensuite abandonné le corps sur un chemin isolé et non dans un cabanon, comme il l’avait affirmé auparavant. Il serait ensuite rentré chez lui pour se laver les mains et se changer, avant de retourner à la salle des fêtes de Pont-de-Beauvoisin, là où la disparition de Maëlys a été signalée, pour se forger un alibi.
Sans prendre part aux recherches de l’enfant, il aurait ensuite quitté les lieux pour récupérer le corps de Maëlys et le dissimuler dans une zone montagneuse escarpée du massif de la Chartreuse.
Selon BFM/TV, Nordahl Lelandais, meurtrier présumé de Maëlys de Araujo, aurait livré une nouvelle version des faits de la nuit du 26 au 27 août 2017, au cours de la reconstitution qui a eu lieu le 24 septembre au soir et duré près de 7 heures.
Un élément nouveau a fait irruption dans l’enquête sur le meurtre de la petite Maëlys de Araujo, lors de la reconstitution qui s’est tenue dans la nuit du 24 au 25 septembre.
Le cortège composé des juges d’instructions, du suspect Nordahl Lelandais, des parents de la victime et de près de 200 gendarmes, s’est arrêté un long moment sur le parking d’une zone commerciale de Pont-de-Beauvoisin. Selon BFM/TV, Nordahl Lelandais, mis en examen dans cette affaire, aurait fait de nouvelles déclarations sur le déroulé des événements de la nuit fatidique où la fillette a été tuée.
Plusieurs coups violents
Selon ses propos rapportés indirectement par BFM/TV, c’est à cet endroit qu’il aurait frappé Maëlys qui se trouvait dans son véhicule le soir du drame. Il aurait reconnu avoir porté plusieurs coups à la fillette. D’après ses précédentes déclarations, il n’avait reconnu avoir porté qu’une seule gifle, provoquant, selon lui, la mort « accidentelle » de l’enfant. L’autopsie des restes de Maëlys avait mis en évidence une fracture de la mâchoire provoquée avant sa mort « par un ou plusieurs coups violents ».
Lors de la reconstitution, il aurait mimé des gestes très violents sur un mannequin, selon des témoins présents, cités par BFM/TV. Puis il aurait pris la route du domicile ses parents à Domessin (Savoie). Il aurait alors raconté s’être arrêté un peu plus loin avant de constater la mort de la fillette.
Le suspect aurait ensuite abandonné le corps sur un chemin isolé et non dans un cabanon, comme il l’avait affirmé auparavant. Il serait ensuite rentré chez lui pour se laver les mains et se changer, avant de retourner à la salle des fêtes de Pont-de-Beauvoisin, là où la disparition de Maëlys a été signalée, pour se forger un alibi.
Sans prendre part aux recherches de l’enfant, il aurait ensuite quitté les lieux pour récupérer le corps de Maëlys et le dissimuler dans une zone montagneuse escarpée du massif de la Chartreuse.