Rhône. Deux fillettes découvertes mortes dans une caserne de gendarmerie.
- il y a 6 ans
Rhône. Deux fillettes découvertes mortes dans une caserne de gendarmerie.
Deux sœurs, âgées de 3 et 5 ans ont été retrouvées mortes, dimanche soir. La piste d’un empoisonnement par leur mère est envisagée. Une enquête pour « recherches des causes de la mort » a été ouverte.
Dimanche soir, deux petites filles âgées de 3 et 5 ans ont été découvertes mortes dans leur lit, dans un logement de la caserne de gendarmerie de Limonest, dans le Rhône, rapporte ce lundi Le Progrès. Une enquête a été ouverte pour « recherches des causes de la mort ».
Selon une information de RTL, la mère serait la principale suspecte. Elle serait soupçonnée d’avoir empoisonné ses deux filles. « C’est une des hypothèses de travail », a indiqué une source proche de l’enquête. Des sources de presse évoquent qu'elle était en cours de séparation avec son mari gendarme, absent lors du drame. Deux autres personnes se trouvaient dans l’appartement de fonction au moment des faits.
La mère a indiqué aux enquêteurs avoir découvert les corps inanimés dimanche 11 juin, vers 18 h. Un peu plus tôt, les deux fillettes s’étaient rendues dans leur chambre pour se reposer alors que toute la famille était réunie dans l’appartement.
Des autopsies sont en cours. Dans la nuit, le père, sous-officier à Limonest, au sein de la brigade et des témoins ont été entendus par les enquêteurs. La mère des deux enfants a quant à elle été hospitalisée en état de choc. L’emploi du temps de la famille et des proches doit être reconstitué pour préciser le rôle présumé de la mère.
Deux sœurs, âgées de 3 et 5 ans ont été retrouvées mortes, dimanche soir. La piste d’un empoisonnement par leur mère est envisagée. Une enquête pour « recherches des causes de la mort » a été ouverte.
Dimanche soir, deux petites filles âgées de 3 et 5 ans ont été découvertes mortes dans leur lit, dans un logement de la caserne de gendarmerie de Limonest, dans le Rhône, rapporte ce lundi Le Progrès. Une enquête a été ouverte pour « recherches des causes de la mort ».
Selon une information de RTL, la mère serait la principale suspecte. Elle serait soupçonnée d’avoir empoisonné ses deux filles. « C’est une des hypothèses de travail », a indiqué une source proche de l’enquête. Des sources de presse évoquent qu'elle était en cours de séparation avec son mari gendarme, absent lors du drame. Deux autres personnes se trouvaient dans l’appartement de fonction au moment des faits.
La mère a indiqué aux enquêteurs avoir découvert les corps inanimés dimanche 11 juin, vers 18 h. Un peu plus tôt, les deux fillettes s’étaient rendues dans leur chambre pour se reposer alors que toute la famille était réunie dans l’appartement.
Des autopsies sont en cours. Dans la nuit, le père, sous-officier à Limonest, au sein de la brigade et des témoins ont été entendus par les enquêteurs. La mère des deux enfants a quant à elle été hospitalisée en état de choc. L’emploi du temps de la famille et des proches doit être reconstitué pour préciser le rôle présumé de la mère.