Panique sur un quai de gare à Paris, une femme tombe sur les voies.
- il y a 6 ans
Panique sur un quai de gare à Paris, une femme tombe sur les voies.
La grève qui a débuté mardi à la SNCF était annoncée, mais cela n'a pas empêché des milliers de Parisiens de se ruer dans les gares, où des scènes de cohue ont été observées.
Paris n'est pas la province et cela s'est vérifié, mardi matin, au premier jour de la grève des cheminots contre la réforme ferroviaire portée par le gouvernement.
Quand les gares SNCF de Lille, Nantes, Rennes ou Marseille étaient plutôt désertes - les rares trains maintenus étant complets - celles de la capitale et de sa banlieue ont été prises d'assaut par des usagers espérant attraper un train pour rejoindre leur lieu de travail. Résultat : des quais noirs de monde et des trains plus que bondés.
Deux mètres sous le niveau du quai
En gare de Lyon, où tous les trains de la journée tiennent sur un seul panneau d'affichage, certains ont tout tenté pour rejoindre plus rapidement le bon quai, quitte à traverser les voies en prenant des risques et en bravant un interdit.
Une jeune femme est ainsi tombée sur les rails, au moment où des centaines d'usagers attendaient l'arrivée d'un train.
Assise un mètre sous le niveau des rails et environ deux mètres sous le niveau de la bordure du quai, elle a été secourue par des témoins et par une employée de la SNCF portant un gilet rouge.
Ils ont pu l'aider à remonter sur le quai, avant qu'elle ne soit prise en charge par la SNCF.
Retards et malaises
Une grosse frayeur sans conséquence pour cette personne, mais qui a contribué à retarder plusieurs rames du RER D.
D'autres images postées sur les réseaux sociaux montrent une gare de Lyon qui déborde d'usagers SNCF.
La grève qui a débuté mardi à la SNCF était annoncée, mais cela n'a pas empêché des milliers de Parisiens de se ruer dans les gares, où des scènes de cohue ont été observées.
Paris n'est pas la province et cela s'est vérifié, mardi matin, au premier jour de la grève des cheminots contre la réforme ferroviaire portée par le gouvernement.
Quand les gares SNCF de Lille, Nantes, Rennes ou Marseille étaient plutôt désertes - les rares trains maintenus étant complets - celles de la capitale et de sa banlieue ont été prises d'assaut par des usagers espérant attraper un train pour rejoindre leur lieu de travail. Résultat : des quais noirs de monde et des trains plus que bondés.
Deux mètres sous le niveau du quai
En gare de Lyon, où tous les trains de la journée tiennent sur un seul panneau d'affichage, certains ont tout tenté pour rejoindre plus rapidement le bon quai, quitte à traverser les voies en prenant des risques et en bravant un interdit.
Une jeune femme est ainsi tombée sur les rails, au moment où des centaines d'usagers attendaient l'arrivée d'un train.
Assise un mètre sous le niveau des rails et environ deux mètres sous le niveau de la bordure du quai, elle a été secourue par des témoins et par une employée de la SNCF portant un gilet rouge.
Ils ont pu l'aider à remonter sur le quai, avant qu'elle ne soit prise en charge par la SNCF.
Retards et malaises
Une grosse frayeur sans conséquence pour cette personne, mais qui a contribué à retarder plusieurs rames du RER D.
D'autres images postées sur les réseaux sociaux montrent une gare de Lyon qui déborde d'usagers SNCF.