patrice merot
@greenfish64
Master 2 d'arts plastiques à l'université de Provence, professeur quelques années, je serais le fondateur de" l'hyper-dynamisme" (d'après un article de Pierre Vasarely dans le magazine "Course et Elevage" de mai 1993).
Cette première utilisation du dripping à de l'art figuratif (l'affiche du Festival de Jazz d'Aix-en-Provence de 1991 en témoigne) était inédite à l'époque. En effet cette technique picturale était jusque là réservée à l'art abstrait sous l'égide de Jackson POLLOCK.
L'hyper-dynamisme, qui deviendra par la suite l'hyper art, puis le "flashing" a été extrêmement médiatisé.
Ainsi, en 1995, je suis premier artiste visuel français à avoir mis ses oeuvres et ses théories en ligne sur internet.
Plusieurs affiches officielles de sport, lithographies pour Toyota, timbres pour Monaco...mon style a été officialisé au travers de nombreux articles de presse et plusieurs interviews TV dès 1993.
En 1994, le consortium LVMH (Louis-Vuitton-Moët-Henessy) lance un concours pour les 400 ans de la disparition du peintre Nicolas Poussin sur le thème « Les quatre saisons ».
Je suis sélectionné pour représenter la région PACA ; deux de mes toiles seront exposées sous la Pyramide du LOUVRE : « Les quatre saisons 1 » et «Les quatre saisons 2».
L’omniprésence de l’eau y est symbolisée par l’emploi de bandes horizontales, faites de laques très brillantes et de drippings d’origines très diverses (FR3 PACA 1995). Aujourd'hui l'hyper-dynamisme, qui a curieusement initialisé le "hype-art" et autres mouvements "inédits"récents (graphes en drippings blancs sur les trottoirs ), et irrigué une multitude de créations les plus diverses, continue d'inspirer de nombreux créateurs dans tous les domaines des arts visuels.
Publicités et médias de toutes sortes: Haute-Couture (Hermès en 2004), prêt-à-porter et sportswear (Nike, Adidas, Quiksilver, H&M, ...), cinéma, télévisions, arts plastiques, graphiques, ou numériques, logiciels graphiques, jeux électroniques...
Cette première utilisation du dripping à de l'art figuratif (l'affiche du Festival de Jazz d'Aix-en-Provence de 1991 en témoigne) était inédite à l'époque. En effet cette technique picturale était jusque là réservée à l'art abstrait sous l'égide de Jackson POLLOCK.
L'hyper-dynamisme, qui deviendra par la suite l'hyper art, puis le "flashing" a été extrêmement médiatisé.
Ainsi, en 1995, je suis premier artiste visuel français à avoir mis ses oeuvres et ses théories en ligne sur internet.
Plusieurs affiches officielles de sport, lithographies pour Toyota, timbres pour Monaco...mon style a été officialisé au travers de nombreux articles de presse et plusieurs interviews TV dès 1993.
En 1994, le consortium LVMH (Louis-Vuitton-Moët-Henessy) lance un concours pour les 400 ans de la disparition du peintre Nicolas Poussin sur le thème « Les quatre saisons ».
Je suis sélectionné pour représenter la région PACA ; deux de mes toiles seront exposées sous la Pyramide du LOUVRE : « Les quatre saisons 1 » et «Les quatre saisons 2».
L’omniprésence de l’eau y est symbolisée par l’emploi de bandes horizontales, faites de laques très brillantes et de drippings d’origines très diverses (FR3 PACA 1995). Aujourd'hui l'hyper-dynamisme, qui a curieusement initialisé le "hype-art" et autres mouvements "inédits"récents (graphes en drippings blancs sur les trottoirs ), et irrigué une multitude de créations les plus diverses, continue d'inspirer de nombreux créateurs dans tous les domaines des arts visuels.
Publicités et médias de toutes sortes: Haute-Couture (Hermès en 2004), prêt-à-porter et sportswear (Nike, Adidas, Quiksilver, H&M, ...), cinéma, télévisions, arts plastiques, graphiques, ou numériques, logiciels graphiques, jeux électroniques...