Notre reporter au Caire : «Les journalistes sont pris à partie »

  • il y a 13 ans
Pour certains manifestants pro-Moubarak de la place Tahrir les journalistes sont devenus des témoins indésirables. En 24 heures plusieurs journalistes ont été victimes de menaces, de violences - molestés, parfois blessés à l'arme blanche -, d'autres ont vu leur matériel saisi ou volé. Plusieurs ont été victime d'arrestations arbitraires. L'une des envoyés spéciaux du Parisien - Aujourd'hui en France au Caire, Philippe de Poulpiquet fait le récit d'une situation qui s'est brutalement tendue.

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