ITW Jean-Charles de Castelbajac & Nouvelle Vague - Cérémony - Mac/Val
- il y a 13 ans
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Une nouvelle collection pour Jean-Charles de Castelbajac?
Plutôt une performance, celle de "Ceremony", le spectacle découvert lors du festival "Exit" à la Maison des Arts de Créteil.
Une performance qui mêle le talent artistique de JCDC au projet musical du moment "Nouvelle Vague". Une complicité culturelle qui nous plonge, nous, spectateurs, dans un univers imaginaire où la pop eighties est de mise.
Le départ de cette aventure, c'est l'hommage rendu à Robert Malaval, peintre et ami de Jean-Charles de Castelbajac. 30 ans après sa disparition, l'artiste ombrageux refait surface à travers ses textes dont l'un lu par sa petite fille Edween, celui du "fantôme".
Par ses toiles éclaboussées de paillettes et d'objets déformés, l'artiste a inspiré le styliste dans ce spectacle. La performance laisse place à la présence et l 'absence de Malaval.
Une scénographie tout en couleurs signée JCDC.
Des néons multicolores au rubik's cube géant en passant par la plateforme lumineuse pour les musiciens: le designer bien connu des défilés laisse une empreinte pop.
Sur scène, "Nouvelle Vague" nous balade avec ses nombreuses reprises à la sauce new wave en version bossa nova. De "The Killing Moon" à "Ever Fallen In Love", les morceaux prennent une nouvelle tournure avec Mareva Galanter et Lisa Aleat. Leurs voix s'accordent à la perfection avec Marc Collin, le compositeur de la bande.
"Ceremony" offre un monde où l'imaginaire se reflète avec la mort.
Un spectacle sans chichis, ni cérémonie.
Une nouvelle collection pour Jean-Charles de Castelbajac?
Plutôt une performance, celle de "Ceremony", le spectacle découvert lors du festival "Exit" à la Maison des Arts de Créteil.
Une performance qui mêle le talent artistique de JCDC au projet musical du moment "Nouvelle Vague". Une complicité culturelle qui nous plonge, nous, spectateurs, dans un univers imaginaire où la pop eighties est de mise.
Le départ de cette aventure, c'est l'hommage rendu à Robert Malaval, peintre et ami de Jean-Charles de Castelbajac. 30 ans après sa disparition, l'artiste ombrageux refait surface à travers ses textes dont l'un lu par sa petite fille Edween, celui du "fantôme".
Par ses toiles éclaboussées de paillettes et d'objets déformés, l'artiste a inspiré le styliste dans ce spectacle. La performance laisse place à la présence et l 'absence de Malaval.
Une scénographie tout en couleurs signée JCDC.
Des néons multicolores au rubik's cube géant en passant par la plateforme lumineuse pour les musiciens: le designer bien connu des défilés laisse une empreinte pop.
Sur scène, "Nouvelle Vague" nous balade avec ses nombreuses reprises à la sauce new wave en version bossa nova. De "The Killing Moon" à "Ever Fallen In Love", les morceaux prennent une nouvelle tournure avec Mareva Galanter et Lisa Aleat. Leurs voix s'accordent à la perfection avec Marc Collin, le compositeur de la bande.
"Ceremony" offre un monde où l'imaginaire se reflète avec la mort.
Un spectacle sans chichis, ni cérémonie.