Le ski pour les Nuls, en 7 leçons : Florian Senand
- il y a 13 ans
Nous somme en Mars 2011.
Jey et moi, qui nous connaissons depuis l'age de 3 ans, décidons de partir ensemble aux sports d'hivers.
C'est un militaire plutôt atypique, il faut le dire, et je suis suis graphiste.
Il est Habitué à l'action, et moi, a rester assis devant un ordinateur toute la journée.
Mais on y va tous les deux avec une envie commune : s'éclater.
Et c'est littéralement ce qu'on va faire.
On démarre dés le premier jour sur les chapeaux de roues, armés de nos IPhones, et bien décidés à filmer nos « exploits ».
Mais je sais à peine skier (c'est seulement ma deuxième cession), et il est bourré de « conneries ».
Très rapidement, le séjour va se transformer en craquages à répétition.
Le dernier jour, aux vues des plans « foireux » filmés toutes la semaine et ne sachant pas trop comment je pourrai les exploiter, je décide de scénariser le film, et d'en faire ce qui deviendra « Le ski pour les nuls, en 7 leçons ».
Jey et moi, qui nous connaissons depuis l'age de 3 ans, décidons de partir ensemble aux sports d'hivers.
C'est un militaire plutôt atypique, il faut le dire, et je suis suis graphiste.
Il est Habitué à l'action, et moi, a rester assis devant un ordinateur toute la journée.
Mais on y va tous les deux avec une envie commune : s'éclater.
Et c'est littéralement ce qu'on va faire.
On démarre dés le premier jour sur les chapeaux de roues, armés de nos IPhones, et bien décidés à filmer nos « exploits ».
Mais je sais à peine skier (c'est seulement ma deuxième cession), et il est bourré de « conneries ».
Très rapidement, le séjour va se transformer en craquages à répétition.
Le dernier jour, aux vues des plans « foireux » filmés toutes la semaine et ne sachant pas trop comment je pourrai les exploiter, je décide de scénariser le film, et d'en faire ce qui deviendra « Le ski pour les nuls, en 7 leçons ».