La franc-maçonnerie et les chefs d'Etats africains

  • il y a 13 ans
copié-collé d'ailleurs :
"Ils sont nombreux à graviter autour de la Grande Loge nationale de la France (Glnf). Tous, de véritables maîtres dans leurs pays respectifs. C'est loin d'une pratique reposant sur la démocratie, et son essor dans leurs pays également. Certains d'entre eux se battent pour offrir de meilleures conditions de vie et d'existence de leurs populations, passant par des projets, solutions porteuses menant vers un "développement durable". Ils restent et demeurent très ou trop riches se permettant toutes les largesses, et on n'a point à espérer une interpellation internationale sur ce type de gestion.

Les adeptes du Grand Orient (GO) en plus de la Grande Loge nationale française (Gnlf), sont bien nombreux parmi les Chefs d'Etat. Et le journal d'en donner un chiffre, et des noms qui dégagent la surprise. Car, « les maçons sont partout, la maçonnerie nulle part ». Donnant des exemples sur l'appartenance de ces Chefs d'Etat à la loge maçonnique, les auteurs de ce dossier diront, « le 90e anniversaire de la Grande Loge nationale française, fêté avec faste en décembre 2003 dans un palace cannois : un écran géant déployé dans le lobby du Grand Hôtel diffuse alors en boucle l'arrivée à l'aéroport de Nice d'une demi-douzaine de Présidents africains, Bongo et Ngesso en tête (). À côté, nombreux sont également ceux qui embrassent la politique, qui sont propulsés au-devant de la scène pour leur appartenance à des loges maçonniques. Et, citant des Présidents de l'Afrique francophone comme Faure Gnassingbé, Joseph Kabila, Paul Biya, Idriss Déby Itno, Mamadou Tandjan, Blaise Compaoré, Thomas Boni Yayi, François Bozizé, Amadou Toumani Touré, ou encore Denis Sassou Ngesso et Oumar Bongo, l'Express International écrira à propos de celui du Sénégal, « il a, semble-t-il, pris ses distances avec sa loge. D'autant qu'il doit tenir compte de l'hospitalité de l'islam confrérique envers la maçonnerie ». Vérité ou simple présupposés ?"

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