Documentaire 39/45 - Premiere défaite
- il y a 14 ans
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C'est à Stalingrad que l'Allemagne perdit sa suprématie militaire. Ce fut le " commencement de la fin ".
La férocité des combats, l'acharnement des défenseurs, les souffrances endurées par les combattants allemands mourant de froid et de faim sont incompréhensibles si l'on ignore les enjeux de cette bataille et le déroulement inéluctable du scénario.
C'est à cette tâche que se sont attelés les historiens dans cette vidéo, en particulier en expliquant très clairement les manœuvres des généraux allemands Von Bock, Paulus, Manstein et soviétiques Tchouikov et Joukov.
Non content d'avoir fourvoyé la 6ème armée dans l'enfer de Stalingrad, le Führer lui interdit, le 24 Novembre 1942 de s'en dégager. Cela signifiait sacrifier, d'un seul trait de plume, la vie de 200 000 hommes. Il s'entêta en refusant le 24 Janvier à Von Paulus le droit de se rendre. Cependant celui ci signa sa capitulation le 31 Janvier.
Le rideau tombait sur cette tragédie. Mais elle ne faisait que commencer pour les 91000 prisonniers envoyés dans les camps de Sibérie et dont seulement 6000 reviendront vivants, des années plus tard.
C'est à Stalingrad que l'Allemagne perdit sa suprématie militaire. Ce fut le " commencement de la fin ".
La férocité des combats, l'acharnement des défenseurs, les souffrances endurées par les combattants allemands mourant de froid et de faim sont incompréhensibles si l'on ignore les enjeux de cette bataille et le déroulement inéluctable du scénario.
C'est à cette tâche que se sont attelés les historiens dans cette vidéo, en particulier en expliquant très clairement les manœuvres des généraux allemands Von Bock, Paulus, Manstein et soviétiques Tchouikov et Joukov.
Non content d'avoir fourvoyé la 6ème armée dans l'enfer de Stalingrad, le Führer lui interdit, le 24 Novembre 1942 de s'en dégager. Cela signifiait sacrifier, d'un seul trait de plume, la vie de 200 000 hommes. Il s'entêta en refusant le 24 Janvier à Von Paulus le droit de se rendre. Cependant celui ci signa sa capitulation le 31 Janvier.
Le rideau tombait sur cette tragédie. Mais elle ne faisait que commencer pour les 91000 prisonniers envoyés dans les camps de Sibérie et dont seulement 6000 reviendront vivants, des années plus tard.