Vouloir tout contrôler, tel est le reproche fait à Apple. Pas facile pour un éditeur ou un développeur d’applications de faire ce qu’il veut s’il souhaite être présent sur l’iPhone. Son travail doit être validé par la pomme pour être publié et surtout les outils qu’il utilise doivent être ceux certifiés par Cupertino. C’est ainsi que Flash est prié d’aller ailleurs voir que sur l’iPhone. Une politique qui vient soudainement de s’assouplir. Apple fait machine arrière toute comme si elle craignait un retour de flammes. Pourquoi ce revirement ? Souhaite-t-elle ne plus être dépeinte comme un nouveau big brother ? C’est le sujet de ce 33ème épisode d’On refait le Mac.