La transcommunication instrumentale Partie 1

  • il y a 14 ans
Dès les années 30, l’Américain Attila von Szalay (Sealay), qui joignait à son métier de photographe des dons de medium, aurait essayé au moyen de diverses techniques de capturer la voix des esprits. Dans les années 50, il s’associa avec Raymond Bayless, illustrateur de littérature fantastique passionné de paranormal. Ils prétendirent avoir capté de nombreuses voix à l’intérieur d’une garde-robe isolée acoustiquement, audibles seulement lors de la réécoute.
Par la suite un collaborateur, Konstantin Raudive (1906-1974), Lithuanien et enseignant de psychologie à l'Université d'Uppsala, poursuivit l’expérience à grande échelle. Il réalisa quelque 100 000 enregistrements selon trois modalités : dans une pièce isolée acoustiquement, bruit statique de radio et bruit statique de diode. Il dégagea quatre caractéristiques des voix électroniques : rythme différent du langage ordinaire, extrême brièveté du message et non-respect de la syntaxe, parfois mélange de différentes langues. Ces constatations furent considérées par les rationalistes comme de claires indications qu’on n’était pas en face d’une véritable communication linguistique.
En mars 2003, Alexander MacRae, chercheur en parapsychologie écossais, procéda à des enregistrements dans un laboratoire du Centre de science noétique de Petaluma, Californie. Le local était, selon ses dires, isolé acoustiquement et protégé des radiations électromagnétiques. Il déclara avoir enregistré de nombreuses voix et considère que le fait que l’isolement n’ait eu aucune influence sur elles prouve leur nature paranormale. Ses conclusions ont été publiés dans le Journal of the Society for Psychical Research (octobre 2005).
François Brune en France est l'auteur de livres, et de publications au sujet de transcommunications instrumentales.

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