REPRISE GUITARE ACOUSTIQUE (ou etions nous)

Emmanuel Macron : «En France, nous sommes à 92% ou 93% de stockage par rapport à nos capacités. Nous sommes en avance sur les objectifs que nous nous étions donnés»

Ivan Rioufol : «Castex nous parlait comme si nous étions des otages ou des prisonniers»

9e j. - Villas-Boas : "Lopez en 6 ? Seulement dans mes rêves ou si nous étions le Barça..."

No One Is Innocent - Mais où étions nous ?

«Où nous étions, c'était infernal» : des réfugiés des kibboutz fuient vers des hôtels de Tel-Aviv

No One Is Innocent - Où étions-nous ?

9e j. - Villas-Boas : "Lopez en 6 ? Seulement dans mes rêves ou si nous étions le Barça..."

VOICI - « Nous n’étions pas amis " : ce jour où Jacques Legros a quitté le journal à cause de Jean-Pierre Pernaut

Nous étions en direct de la mobilisation des gilets jaunes aux abords des Champs-Élysées, là où des heurts ont éclatés entre les forces de l'ordre et quelques manifestants plus tôt dans l'après-midi

Rencontre JL à Tacoignières : Où nous étions

Amine Elbahi : «Il y a six ans, nous étions tous Charlie et nous nous étions promis de parler de ces sujets»

Jean-Pierre Fabre-Bernadac : «Nous n'étions pas là pour créer le buzz. Nous étions là pour dire attention, ce pays peut imploser»

Florian Philippot : "[Villeneuve-sur-Lot] nous n’étions pas dans un bastion du Front national, nous étions dans une terre de mission"

Macron : "La mise en scène n'était pas si bête. (...) mais quand j'ai vu les images, nous n'étions pas dans une école de la République, nous étions dans une crèche (...) toute l'interview s'est faite au milieu d'un désordre enfantin"

Moutet : "Nous étions humains, nous étions authentiques et je pense que c'est très important"

Alain Finkielkraut : "En 1968, nous étions sûrs d’être dans une période de lutte finale, nous brandissions des slogans absurdes, parce que nous vivions à l’ombre de la Résistance, et nous voulions nous montrer à la hauteur"

Uğur Okur, entraîneur adjoint du Manisa FK : "Le fait que nous n'ayons pas réussi à marquer les positions dans lesquelles nous étions entrés et les ballons renvoyés étaient des buts qui ont vraiment brisé notre confiance en nous."

Edouard Philippe : « Nous avons montré que nous étions prêts à y consacrer des moyens considérables parce que nous croyons en l’hôpital public »

Jean-Pierre Fabre-Bernadac : «Agnès Pannier-Runacher nous a dit que nous étions des gens en charentaises [...] mais pendant 20 à 40 ans d'une vie, nous avons été en rangers»

Jean-Paul Palomeros : «En 2014 nous avons détourné le regard, c’était extrêmement grave, il ne faut pas répéter l’histoire, nous sommes plus forts aujourd’hui que nous l’étions en 2014»