Les admiratteurs d'Alain Delon lui rendent hommage devant les grilles de Douchy.
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00:00Allez, let's go !
00:30Tu es comme le vent qui fait chanter le violon, et en porte loin les dauphins des roses,
00:59car elle m'appelle, bon vent et chaud, voilà !
01:05Je ne comprends pas.
01:07Merci d'accompagner.
01:09Tu m'occupes d'un et tu m'occupes d'un et tu m'occupes d'un,
01:13qu'il y ait de mieux qu'un, qu'il y ait de mieux qu'un,
01:16que tu m'occupes d'un et tu m'occupes d'un.
01:18Moi, des mots tendres inventés de douceur,
01:21je m'roule sur ta bouche, mais jamais sur mon cœur.
01:28Paroles, paroles, paroles, paroles, paroles, paroles, paroles, paroles, paroles, paroles, paroles, paroles, paroles, paroles, paroles, paroles, paroles, paroles, paroles.
01:47Paroles que tu sèves au vent.
01:52Voilà mon testale, de parler, de parler comme la première fois.
01:57Encore des mots, toujours des mots, des milliers de mots.
02:04Comme j'aimerais que tu ne comprennes rien que des mots.
02:07Tu m'écoutes autant que toi.
02:11Des mots d'argile, des mots d'argile, qu'est-ce qu'il te faut ?
02:17Fais mon rêve, défendu.
02:19Oui, fais mon rêve.
02:21Mon seul témoin, mon unique espérance.
02:24Le milieu de la tête, quand tu commences,
02:29si tu savais que j'ai envie d'un peu de silence.