Pour Éric Revel, aujourd’hui, «on ne peut plus débattre de rien»
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Le calme est revenu ce vendredi soir à Sciences Po. Après plusieurs semaines de tension, la direction de Sciences Po Paris a annoncé, vendredi 26 avril, dans la soirée, un accord avec ses étudiants mobilisés pour la cause palestinienne, par lequel elle s’engage à organiser un débat interne et à suspendre des procédures disciplinaires lancées contre des manifestants. Pour le journaliste Éric Revel, aujourd’hui, «on ne peut plus débattre de rien».
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