#Littérature #Anticonformisme #Mode

L'échappatoire de Helena Noguerra face aux prédateurs du monde de la mode

Il y a quelques semaines, lors d'une interview avec Léa Salamé sur France Inter, Helena Noguerra a partagé comment son amour pour la littérature l'a aidée à se protéger des prédateurs lorsqu'elle était jeune mannequin. Sa passion pour les livres la tenait éloignée des fêtes où elle aurait pu être vulnérable.

Une vision alternative de l'univers artistique

Dans une récente entrevue avec Gala, en date du 21 mars 2024, Helena Noguerra a révélé son refus des normes de l'industrie dans laquelle elle évolue. Elle critique la recherche de rentabilité à tout prix et la brutalité des relations hiérarchisées. Plutôt que de s'y conformer, elle a trouvé sa propre voie.

Un style vestimentaire bien à elle

L'artiste assume pleinement sa singularité et son refus de suivre les codes préétablis, même sur les tapis rouges. Helena Noguerra préfère porter ses propres robes, refusant de se plier à l'idéal imposé par l'industrie avec des tenues hors de prix. Elle refuse de se soumettre à une image écrasante de perfection.

Les contradictions d'une anticonformiste assumée

Malgré son anticonformisme affiché, Helena Noguerra révèle avoir cédé à la pression sociale en matière de pilosité. Alors qu'elle incarne Frida Kahlo sur scène, elle admet avoir épilé ses sourcils épais et sa moustache dès un jeune âge, cédant ainsi à la norme en vigueur. Une contradiction qu'elle reconnaît aujourd'hui avec humour.

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