Colère des agriculteurs : « Notre profession, c’est de l’esclavage ! », s’élève Thierry sur le barrage de l’A7, dans la Drôme
- il y a 3 mois
Depuis ce mardi matin, 4h, des agriculteurs bloquent l’autoroute A7 à hauteur d’Albon, dans la Drôme. Thierry Seneclauze, le leader de ce mouvement, et ses camarades sont déterminés à « rester sur ce point de blocage tant qu’aucune avancée concrète n’aura été obtenue. »
Après les barrages sur l’A64 ou sur l’A62, des agriculteurs ont suivi le mouvement de leurs collègues du Sud-ouest. Un nouveau point de blocage a ainsi vu le jour sur l’A7, au niveau de la commune d’Albon, ce mardi, à 4h du matin. Là, quelque 200 agriculteurs basés dans la Drôme mais dans l’Isère se relaient sur cette portion d’autoroute.
« Notre profession ressemble de plus en plus à de l’esclavage, dénonce Thierry Seneclauze (60 ans), céréalier à Anneyron, juste à côté d’Albon. Nous sommes dirigés par un système soviéto-bolchévique. C’est une catastrophe ! Tout ça sous des prétextes écologiques qui n’en sont rien. »
Postés sur l’A7 depuis ce mardi, les agriculteurs dromois et isérois entendent rester sur place tant qu’ils n’auront pas reçu de réponses satisfaisantes.
Après les barrages sur l’A64 ou sur l’A62, des agriculteurs ont suivi le mouvement de leurs collègues du Sud-ouest. Un nouveau point de blocage a ainsi vu le jour sur l’A7, au niveau de la commune d’Albon, ce mardi, à 4h du matin. Là, quelque 200 agriculteurs basés dans la Drôme mais dans l’Isère se relaient sur cette portion d’autoroute.
« Notre profession ressemble de plus en plus à de l’esclavage, dénonce Thierry Seneclauze (60 ans), céréalier à Anneyron, juste à côté d’Albon. Nous sommes dirigés par un système soviéto-bolchévique. C’est une catastrophe ! Tout ça sous des prétextes écologiques qui n’en sont rien. »
Postés sur l’A7 depuis ce mardi, les agriculteurs dromois et isérois entendent rester sur place tant qu’ils n’auront pas reçu de réponses satisfaisantes.