Les dirigeants du Parti socialiste et du Parti communiste ont demandé mardi au futur Premier ministre, dont la nomination est prévue en fin de matinée, un vote de confiance devant l'Assemblée nationale, comme cela se fait "dans toutes les grandes démocraties", sans toutefois se prononcer sur une éventuelle motion de censure évoquée par les Insoumis.

"La tradition républicaine, c'est qu'un Premier ministre qui vient d'être nommé vient chercher l'onction du Parlement", a estimé le premier secrétaire du PS, Olivier Faure, sur France inter.
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