Un salaire de 150 000 euros mensuels : les confessions du célèbre présentateur des JT de TF1
- 5 months ago
#TF1 #journalistes #salaires #médias
Les salaires élevés des journalistes de TF1 dans le passé
Il est bien connu que les journalistes de TF1 sont très bien rémunérés. Cependant, leurs prédécesseurs avaient des salaires encore plus élevés à l'époque faste de la chaîne. Des figures emblématiques comme Jean-Pierre Pernaut, Claire Chazal et Patrick Poivre d'Arvor, qui attiraient jusqu'à 12 millions de téléspectateurs, touchaient plus de 120 000 euros par mois. Mais ce n'était pas seulement eux ; Jean-Claude Bourret, journaliste de longue date de TF1, a récemment révélé dans une interview qu'il gagnait également des sommes considérables pendant ses années de direction et de présentation des journaux télévisés.
La proposition tentante de La Cinq
Dans son entretien, Jean-Claude Bourret a révélé qu'en tant que rédacteur en chef et présentateur des journaux du weekend, il gagnait l'équivalent d'environ 6 000 euros par mois à l'époque. Cependant, lorsqu'il a reçu une offre du magnat des médias italien Silvio Berlusconi et du groupe Hersant pour rejoindre La Cinq, il était tenté par le double salaire proposé : 12 000 euros par mois. Il a admis que tout le monde préfère gagner davantage. Il a également souligné qu'il était déjà conscient d'être privilégié à l'époque.
Une proposition exorbitante de Martin Bouygues
En 1987, lorsque Jean-Claude Bourret a annoncé à ses patrons qu'il souhaitait rejoindre La Cinq pour un salaire deux fois plus élevé, son patron Martin Bouygues, récemment devenu propriétaire de TF1, a pris une décision radicale. Il lui a proposé un salaire mensuel de 110 000 euros, en plus d'une voiture avec chauffeur 7 jours sur 7, équivalant à plus de 10 000 euros par mois, ainsi qu'une carte de crédit aux frais illimités. Il était autorisé à dépenser 1000 euros par jour, soit l'équivalent de 150 000 euros par mois.
Le refus et les conséquences
Malgré cette proposition exceptionnelle, Jean-Claude Bourret a courageusement décliné l'offre. Il a préféré partir pour La Cinq en gagnant douze fois moins. L'argent n'était pas sa principale motivation, comme il l'a souligné. Ce choix risqué a peut-être été regretté par la suite, car le journaliste n'a pas survécu à la disparition de La Cinq au profit de France 5 et a quitté la chaîne en 1997. Depuis lors, il a continué sa carrière en écrivant de nombreux ouvrages, dont le dernier est consacré à l'histoire de La Cinq, de sa création à sa disparition.
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Les salaires élevés des journalistes de TF1 dans le passé
Il est bien connu que les journalistes de TF1 sont très bien rémunérés. Cependant, leurs prédécesseurs avaient des salaires encore plus élevés à l'époque faste de la chaîne. Des figures emblématiques comme Jean-Pierre Pernaut, Claire Chazal et Patrick Poivre d'Arvor, qui attiraient jusqu'à 12 millions de téléspectateurs, touchaient plus de 120 000 euros par mois. Mais ce n'était pas seulement eux ; Jean-Claude Bourret, journaliste de longue date de TF1, a récemment révélé dans une interview qu'il gagnait également des sommes considérables pendant ses années de direction et de présentation des journaux télévisés.
La proposition tentante de La Cinq
Dans son entretien, Jean-Claude Bourret a révélé qu'en tant que rédacteur en chef et présentateur des journaux du weekend, il gagnait l'équivalent d'environ 6 000 euros par mois à l'époque. Cependant, lorsqu'il a reçu une offre du magnat des médias italien Silvio Berlusconi et du groupe Hersant pour rejoindre La Cinq, il était tenté par le double salaire proposé : 12 000 euros par mois. Il a admis que tout le monde préfère gagner davantage. Il a également souligné qu'il était déjà conscient d'être privilégié à l'époque.
Une proposition exorbitante de Martin Bouygues
En 1987, lorsque Jean-Claude Bourret a annoncé à ses patrons qu'il souhaitait rejoindre La Cinq pour un salaire deux fois plus élevé, son patron Martin Bouygues, récemment devenu propriétaire de TF1, a pris une décision radicale. Il lui a proposé un salaire mensuel de 110 000 euros, en plus d'une voiture avec chauffeur 7 jours sur 7, équivalant à plus de 10 000 euros par mois, ainsi qu'une carte de crédit aux frais illimités. Il était autorisé à dépenser 1000 euros par jour, soit l'équivalent de 150 000 euros par mois.
Le refus et les conséquences
Malgré cette proposition exceptionnelle, Jean-Claude Bourret a courageusement décliné l'offre. Il a préféré partir pour La Cinq en gagnant douze fois moins. L'argent n'était pas sa principale motivation, comme il l'a souligné. Ce choix risqué a peut-être été regretté par la suite, car le journaliste n'a pas survécu à la disparition de La Cinq au profit de France 5 et a quitté la chaîne en 1997. Depuis lors, il a continué sa carrière en écrivant de nombreux ouvrages, dont le dernier est consacré à l'histoire de La Cinq, de sa création à sa disparition.
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