Pourtant signataire de la tribune de soutien à Gérard Depardieu, le réalisateur Yvan Attal prend ses distances : "Il y a des choses qui ne me vont pas dans ce texte. J'ai demandé de reformuler des choses, ils ont refusé"
- il y a 4 mois
Le réalisateur Yvan Attal a signé la pétition en faveur de Gérard Depardieu et s'est expliqué hier soir sur le plateau de BFM TV. Mais surtout on a pu comprendre qu'il existait un malaise chez lui par rapport au texte qui a été rédigé.
"Moi aussi, j'ai un malaise parce que j'ai signé cette pétition qui ne me va pas totalement, mais je l'ai signée parce qu'il y avait quelque chose de plus fort que ce qui me dérangeait dans cette pétition", a expliqué Yvan Attal. "J'ai d’ailleurs demandé aux gens qui ont écrit cette pétition de reformuler des choses, de parler de certaines choses, et ils n'ont pas voulu", a-t-il ajouté. "Mais j'ai signé parce qu'il y a trop de choses qui ne vont pas."
Il est notamment revenu sur l'une des phrases du texte, qui estime que "lorsqu'on s'en prend ainsi à Gérard Depardieu, c'est l'art que l'on attaque". "Je ne suis pas d'accord avec ça. Moi, je m'en fous que ce soit un monstre sacré - avec toute l'admiration que j'ai pour Depardieu (...) Mais il a le droit de ne pas être lynché publiquement depuis des mois. Et c'est justement parce qu'il y a une instruction qu'il faut laisser la justice parler".
"Moi aussi, j'ai un malaise parce que j'ai signé cette pétition qui ne me va pas totalement, mais je l'ai signée parce qu'il y avait quelque chose de plus fort que ce qui me dérangeait dans cette pétition", a expliqué Yvan Attal. "J'ai d’ailleurs demandé aux gens qui ont écrit cette pétition de reformuler des choses, de parler de certaines choses, et ils n'ont pas voulu", a-t-il ajouté. "Mais j'ai signé parce qu'il y a trop de choses qui ne vont pas."
Il est notamment revenu sur l'une des phrases du texte, qui estime que "lorsqu'on s'en prend ainsi à Gérard Depardieu, c'est l'art que l'on attaque". "Je ne suis pas d'accord avec ça. Moi, je m'en fous que ce soit un monstre sacré - avec toute l'admiration que j'ai pour Depardieu (...) Mais il a le droit de ne pas être lynché publiquement depuis des mois. Et c'est justement parce qu'il y a une instruction qu'il faut laisser la justice parler".