Delphine Jubillar : qui est “Marco”, co-détenu de son mari Cédric, qui a...
- il y a 6 mois
Delphine Jubillar : qui est “Marco”, co-détenu de son mari Cédric, qui a relancé...
Un lourd passé judiciaire. Ce mardi 25 janvier, voilà une semaine que les fouilles pour retrouver le corps de Delphine Jubillar ont été relancées près d'une ferme de Cagnac-les-Mines dans le Tarn. Et pour cause, le témoignage d'un ancien codétenu de Cédric Jubillar a permis de relancer l'enquête, le 17 janvier dernier. Entendu par les enquêteurs, à sa demande, le prisonnier lourdement condamné a livré de nombreux détails sur les confessions de son ami, Cédric Jubillar : "Cédric Jubillar, compagnon de la disparue et principal suspect, aurait indiqué à un codétenu qu'il y avait dissimulé le corps de la jeune infirmière, introuvable depuis plus d'un an, dans ce secteur situé à quelques kilomètres du domicile conjugal", révélaient nos confrères de Midi Libre, le 20 janvier.Témoignage que le père de famille nie toutefois dans deux lettres, dévoilées par La Dépêche : "Marco (son codétenu, NDLR) fait partie des personnes qui m’ont b…, à tous les deux, avec de faux témoignages voilà pourquoi tu as été en garde à vue. On ne peut avoir confiance en personne". Pourtant, cet homme âgé de 36 ans, dont le témoignage édifiant bouleverse l'enquête n'est autre qu'une grande figure du grand banditisme corse. Libéré de prison depuis peu, celui-ci jure n'avoir rien à gagner à ébruiter de telles confidences.Peu de temps avant sa libération, Marco aurait rencontré le compagnon de Delphine Jubillar à la maison d'arrêt de Seysses, non loin de Toulouse en juin 2021. Voisin de cellule de Cédric, le bandit Corse interpellé au Portugal, se serait lié d'amitié avec le père de famille, au point de devenir son fidèle confident, "les fenêtres leur permettant de discuter", souligne Le Dauphine. En fin de peine, l'homme de 36 ans a livré un témoignage édifiant aux enquêteurs, le 10 janvier : "Il aurait d’abord vu un message de l’amant de sa femme avec qui elle textotait. Il a pris son téléphone des mains et a vu les messages. C’est ça qui l’a fait vriller. Il m’a expliqué avoir suivi sa femme en la géolocalisant, avoir tenté de pirater son téléphone sans succès. Il savait ce qui allait se passer. Il attendait le moment propice pour s’en débarrasser", avait-il confié.
Un lourd passé judiciaire. Ce mardi 25 janvier, voilà une semaine que les fouilles pour retrouver le corps de Delphine Jubillar ont été relancées près d'une ferme de Cagnac-les-Mines dans le Tarn. Et pour cause, le témoignage d'un ancien codétenu de Cédric Jubillar a permis de relancer l'enquête, le 17 janvier dernier. Entendu par les enquêteurs, à sa demande, le prisonnier lourdement condamné a livré de nombreux détails sur les confessions de son ami, Cédric Jubillar : "Cédric Jubillar, compagnon de la disparue et principal suspect, aurait indiqué à un codétenu qu'il y avait dissimulé le corps de la jeune infirmière, introuvable depuis plus d'un an, dans ce secteur situé à quelques kilomètres du domicile conjugal", révélaient nos confrères de Midi Libre, le 20 janvier.Témoignage que le père de famille nie toutefois dans deux lettres, dévoilées par La Dépêche : "Marco (son codétenu, NDLR) fait partie des personnes qui m’ont b…, à tous les deux, avec de faux témoignages voilà pourquoi tu as été en garde à vue. On ne peut avoir confiance en personne". Pourtant, cet homme âgé de 36 ans, dont le témoignage édifiant bouleverse l'enquête n'est autre qu'une grande figure du grand banditisme corse. Libéré de prison depuis peu, celui-ci jure n'avoir rien à gagner à ébruiter de telles confidences.Peu de temps avant sa libération, Marco aurait rencontré le compagnon de Delphine Jubillar à la maison d'arrêt de Seysses, non loin de Toulouse en juin 2021. Voisin de cellule de Cédric, le bandit Corse interpellé au Portugal, se serait lié d'amitié avec le père de famille, au point de devenir son fidèle confident, "les fenêtres leur permettant de discuter", souligne Le Dauphine. En fin de peine, l'homme de 36 ans a livré un témoignage édifiant aux enquêteurs, le 10 janvier : "Il aurait d’abord vu un message de l’amant de sa femme avec qui elle textotait. Il a pris son téléphone des mains et a vu les messages. C’est ça qui l’a fait vriller. Il m’a expliqué avoir suivi sa femme en la géolocalisant, avoir tenté de pirater son téléphone sans succès. Il savait ce qui allait se passer. Il attendait le moment propice pour s’en débarrasser", avait-il confié.