Polémique transphobe: "On ne peut pas refuser la prise en charge des personnes transgenres au motif de leur identité de genre" souligne Maxime Haes (STOP Homophobie)

  • l’année dernière
À Pau, dans les Pyrénées-Atlantiques, un gynécologue a été accusé de transphobie. Une femme, qui a transitionné du genre masculin vers le genre féminin, avait un rendez-vous mais a été refusée par le médecin parce qu'il "n'a aucune compétence pour m'occuper des hommes, même s'il se sont rasés la barbe". 

Category

🗞
News
Transcript
00:00 -Sur le message, dans le fond, il est très clair
00:04 que le message est discriminatoire.
00:06 Il est violent, je le rappelle.
00:08 On a des majuscules, on a...
00:11 Ce docteur met l'emphase sur les vraies femmes.
00:16 À l'opposé, il y a des fausses femmes, etc.
00:19 Il y a une vraie volonté, finalement,
00:21 peut-être de discriminer,
00:24 de refuser la prise en charge des personnes transgenres,
00:27 et à ce titre-là, et c'est pour ça que nous allons attaquer,
00:31 nous, on considère que c'est discriminatoire
00:34 et que c'est transphobe.
00:36 Les personnes transgenres, y compris dans le code pénal,
00:39 on ne peut pas refuser la prise en charge
00:42 des personnes transgenres au motif de leur identité de genre.
00:45 C'est un peu ce qui est présent ici.
00:47 Il y a une négation de l'identité de genre de la patiente.

Recommandée