Titre paraphrasé : Un scandale éclate au sein des Miss : une participante exclue pour avoir offert des images peu vêtues aux votants masculins !

  • il y a 9 mois
Scandale lors de la compétition Miss Belgique 2024

L'affaire qui a secoué la compétition Miss Belgique 2024 a fait le tour du monde depuis le 18 juillet 2023. Flore Pensaert, âgée de 25 ans et participante à la compétition, a été confrontée à la colère du conseil d'administration après que des informations ont été relayées concernant ses propositions aux hommes prêts à voter pour elle. Selon le média belge HLN, Flore Pensaert aurait offert des photos d'elle dénudée en échange du soutien des votants, ce qui lui aurait permis d'accéder à la phase finale du concours et à l'élection en direct à la télévision.

Une défense troublée par la controverse

Face aux critiques incessantes, la candidate a reconnu les faits tout en les justifiant. Elle a affirmé que les photos promises aux votants n'étaient pas de nature pornographique : "Il y a trop de tabous concernant la nudité. Ce ne sont pas des photos vulgaires, explicites ou pornographiques", s'est-elle défendue auprès de HLN. Flore Pensaert a souligné que les photos en question étaient en accord avec son travail de "modèle de nu artistique" et qu'elles avaient été prises lors d'une séance photo à Paris.

Une exclusion inévitable

Face à la controverse grandissante, la présidente de Miss Belgique a initialement demandé à la candidate de supprimer toutes les photos de nu artistique présentes sur son compte Instagram. Toutefois, Flore Pensaert a refusé cette requête et a préféré publier de nouvelles photos dénudées tout en prônant "l'excès de confiance en soi et l'amour de soi" ainsi que la passion qui l'animent. Cette attitude revancharde a suscité le mécontentement du conseil d'administration, qui a finalement décidé d'exclure la jeune femme de la compétition.

Des mesures légales envisagées

La polémique aurait pu s'arrêter là, mais ce n'est pas le cas... Sur ses réseaux sociaux, Flore Pensaert a continué de nourrir la controverse en s'attaquant directement à la directrice du concours, Darline Devos. Elle lui reproche d'interdire aux candidates de parler à la presse sous peine d'une amende de 5 000 euros, comme le stipulerait le contrat signé par les participantes à Miss Belgique. La direction de la compétition dénonce ces mensonges de la jeune femme, affirmant qu'elle n'a en réalité signé aucun contrat. Le mercredi 23 août, Flore Pensaert aurait reçu une lettre d'un avocat l'exhortant à régler le différend qui l'oppose à la société Miss Belgique sous 48 heures, sous peine de poursuites judiciaires avec tous le

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