Le Street Art de Marseille: Dire-132, un pionnier qui expose aujourd'hui dans des galeries reconnues
- il y a 8 mois
Après Braga Last One, Dire est notre deuxième invité. Avec son "crew 132", il a marqué les esprits à Paris et Marseille. Depuis 1995, le "crew" signe les murs avec l'emblématique "132", au grand désespoir des municipalités.
Issu d'une époque où avoir une bombe de peinture à la main était synonyme de garde à vue, il se réjouit de voir aujourd'hui les murs tagués, graffés, décorés. À l'heure actuelle, il expose ses œuvres dans des galeries, comme celle de Gallifet en 2016. Bruno de son vrai nom a suivi un cursus d'arts appliqué "ce qui me permet de dessiner tout et n'importe quoi" dit-il.
La seule chose qu'il regrette est le mélange de tous les genres (graffiti, pochoirs, affiche) sous le mot street art, pourvu que cela soit sur un mur. "Avant il y avait des genres bien définis," regrette le graffeur. Mais Dire ne renie pas son amour des belles choses, et réalise de nombreuses commandes.
Issu d'une époque où avoir une bombe de peinture à la main était synonyme de garde à vue, il se réjouit de voir aujourd'hui les murs tagués, graffés, décorés. À l'heure actuelle, il expose ses œuvres dans des galeries, comme celle de Gallifet en 2016. Bruno de son vrai nom a suivi un cursus d'arts appliqué "ce qui me permet de dessiner tout et n'importe quoi" dit-il.
La seule chose qu'il regrette est le mélange de tous les genres (graffiti, pochoirs, affiche) sous le mot street art, pourvu que cela soit sur un mur. "Avant il y avait des genres bien définis," regrette le graffeur. Mais Dire ne renie pas son amour des belles choses, et réalise de nombreuses commandes.