Le fils de Benjamin Castaldi rattrapé par le fisc : les détails.

  • l’année dernière
Les influenceurs dans la tourmente de la DGCCRF

Depuis l’annonce fracassante de Booba visant les influenceurs, ces derniers connaissent une période difficile. Simon Castaldi, fils de Benjamin Castaldi, ne fait pas exception. Le candidat de téléréalité a révélé sur son compte Instagram qu’une injonction administrative avait été prononcée à son encontre par les agents CCRF de la DDPP du Val-de-Marne.

Des pratiques commerciales trompeuses

Le reproche qui lui est fait est en rapport avec la violation du code de la consommation. En effet, il ne mentionne pas l’intention commerciale de ses publications, pourtant en relation directe avec la promotion des biens et services, ni les marques pour lesquelles il réalise ces communications. Ces pratiques sont assimilées à de la publicité cachée et représentent des pratiques commerciales trompeuses.

Enquête de la DGCCRF sur les pratiques de Simon Castaldi

Dans sa story sur Instagram, Simon Castaldi donne plus de détails sur l’enquête qui a été effectuée par les agents de la Concurrence, de la Consommation et de la Répression des Fraudes (CCRF) de la Direction Départementale de Protection des Populations (DDPP) du Val-de-Marne. Les résultats mettent en évidence que l’ex d’Adixia est rémunéré par des partenaires commerciaux pour promouvoir leurs produits ou leurs services dans ses communications, sans mentionner leur intention commerciale.

Illan Castronovo également dans la tourmente

Outre Simon Castaldi, Illan Castronovo subit également les foudres de la Direcction générale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes (DGCCRF). Cette dernière a mené une enquête sur les pratiques de l’époux de Jessica Thivenin, suite à de nombreux signalements. Ces signalements ont poussé les agents de la DGCCRF à vérifier les pratiques de l’influenceur.

Des pratiques commerciales inadmissibles

Illan affirme que les signalements portent sur leur marque de vêtements Jylor, qui serait fabriquée en Chine, alors qu’il s’agit d’une marque à 100% française. Pour autant, il ne nie pas être rémunéré par des partenaires commerciaux pour promouvoir leurs produits ou leurs services dans ses communications. Les enquêteurs ont établi que les communications fallacieuses de l’ex-candidat de téléréalité étaient assimilables à de la publicité trompeuse.

La situation des influenceurs est donc particulièrement précaire. Ces derniers doivent se conformer aux règles et mentionner clairement l’intention commerciale de leurs pu

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