Brigitte Bardot : pourquoi l'actrice a été attaqué en justice par son fils ?
- l’année dernière
L'épisode 4 de la série "Bardot", diffusé le lundi 15 mai, se termine avec la phrase suivante : "Jacques Charrier et son fils ont remporté leur procès contre Brigitte Bardot pour sa représentation de leurs relations et de sa grossesse". Débutée la semaine précédente, cette mini-série aborde ce soir la rencontre entre l'actrice et le comédien, qui donnera naissance à leur fils, Nicolas, son unique enfant, né le 11 janvier 1960.
La rencontre des deux futurs amants a eu lieu sur le tournage de "Babette s'en va-t-en-guerre". Ce coup de foudre a conduit à leur mariage, le second pour Brigitte Bardot, et ultérieurement à la naissance de leur enfant. Cette grossesse a été évoquée par Bardot dans son livre "Initiales BB", paru en 1996.
À l'époque, la comédienne exprimait : "C'était comme si une tumeur s'était nourrie de moi, une masse que j'avais portée dans ma chair enflée, attendant désespérément le moment béni où je pourrais enfin m'en débarrasser. Le cauchemar avait atteint son paroxysme, et je devais assumer pour toujours l'objet de mon malheur."
La naissance de cet enfant s'est déroulée dans des conditions loin d'être idéales. Brigitte Bardot a donné naissance à son enfant sans avoir recours à des analgésiques, souffrant atrocement. Elle écrit : "En tant qu'animal blessé à mort, je hurlais sans retenue". Lors d'une interview télévisée en 1982, l'actrice expliqua : "Je suis devenue mère précisément au moment où cela ne devait pas arriver. Je l'ai vécu comme un drame. Cela a engendré deux personnes malheureuses : mon fils et moi-même."
Suite aux déclarations virulentes formulées par Brigitte Bardot dans son ouvrage autobiographique, Jacques Charrier et leur fils Nicolas ont décidé de déposer une plainte. Nos confrères de Libération rapportaient alors que "Nicolas Charrier, le fils de Brigitte Bardot, ainsi que son ancien mari, Jacques Charrier, réclament 6 millions de francs de dommages et intérêts à l'actrice, et 5 millions à Grasset, l'éditeur qui a publié son autobiographie en octobre 1996". Il convient de rappeler qu'au moment de son divorce avec Jacques Charrier, l'actrice avait confié la garde de leur fils à son ex-époux, justifiant sa décision par sa volonté de lui offrir "une éducation équilibrée dans un environnement sain".
#BrigitteBardot
La rencontre des deux futurs amants a eu lieu sur le tournage de "Babette s'en va-t-en-guerre". Ce coup de foudre a conduit à leur mariage, le second pour Brigitte Bardot, et ultérieurement à la naissance de leur enfant. Cette grossesse a été évoquée par Bardot dans son livre "Initiales BB", paru en 1996.
À l'époque, la comédienne exprimait : "C'était comme si une tumeur s'était nourrie de moi, une masse que j'avais portée dans ma chair enflée, attendant désespérément le moment béni où je pourrais enfin m'en débarrasser. Le cauchemar avait atteint son paroxysme, et je devais assumer pour toujours l'objet de mon malheur."
La naissance de cet enfant s'est déroulée dans des conditions loin d'être idéales. Brigitte Bardot a donné naissance à son enfant sans avoir recours à des analgésiques, souffrant atrocement. Elle écrit : "En tant qu'animal blessé à mort, je hurlais sans retenue". Lors d'une interview télévisée en 1982, l'actrice expliqua : "Je suis devenue mère précisément au moment où cela ne devait pas arriver. Je l'ai vécu comme un drame. Cela a engendré deux personnes malheureuses : mon fils et moi-même."
Suite aux déclarations virulentes formulées par Brigitte Bardot dans son ouvrage autobiographique, Jacques Charrier et leur fils Nicolas ont décidé de déposer une plainte. Nos confrères de Libération rapportaient alors que "Nicolas Charrier, le fils de Brigitte Bardot, ainsi que son ancien mari, Jacques Charrier, réclament 6 millions de francs de dommages et intérêts à l'actrice, et 5 millions à Grasset, l'éditeur qui a publié son autobiographie en octobre 1996". Il convient de rappeler qu'au moment de son divorce avec Jacques Charrier, l'actrice avait confié la garde de leur fils à son ex-époux, justifiant sa décision par sa volonté de lui offrir "une éducation équilibrée dans un environnement sain".
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